Les sociétés de Trump endettées de 650 millions de dollars
Les sociétés de Donald Trump ont un endettement cumulé d’au moins 650 millions de dollars, soit plus du double du montant annoncé par le candidat républicain dans le cadre de sa campagne, a rapporté, hier, le New York Times. Le quotidien reprit ce matin par le journal Liberté, a fait appel à un institut d’études spécialisé dans l’immobilier pour collecter des données concer- nant les propriétés du magnat des affaires, en particulier ses immeubles de bureaux et ses parcours de golf. Il en ressort qu’en plus des 650 millions de dettes, “une partie importante” de la fortune de Donald Trump dépend de trois accords avec des partenaires ayant souscrit des emprunts totalisant 2 milliards de dollars. Si ces emprunts n’étaient pas remboursés, Donald Trump n’en serait pas tenu responsable, mais la valeur des investissements qu’il a réalisés conjointement plongerait, assure le New York Times. Parmi les créanciers de l’empire Trump figurent une des principales banques de Chine — pays que le candidat présente régulièrement comme l’ennemi commercial à sou- mettre — ainsi que Goldman Sachs, la célèbre banque d’affaires que Trump accuse d’avoir favorisé sa rivale Hillary Clinton.
Bijoutier : métier en danger ?
Le métier d’artisan bijoutier se meurt. Les artisans dénoncent d’après le Soir d’Algérie, l’importation massive d’or souvent de qualité douteuse, et accusent les importateurs de commercialiser de l’or importé de Chine via les Emirats arabes unis. Selon le quotidien, l’importation «massive» d’or a contraint 70% des artisans bijoutiers de la wilaya d’Alger à fermer leurs boutiques et à mettre au chômage des dizaines de travailleurs. Ils lancent un cri de détresse à l’adresse des autorités publiques pour sauver cette filière qui est menacée de disparition.
Le représentant des artisans-bijoutiers de la wilaya d’Alger, Mohamed Belkacemi, est catégorique : l’importation massive des ouvrages d’or, souvent de qualité douteuse, fait courir le risque de disparition de la profession déjà amputée de 70% de ses membres.
L’ouverture de l’importation des ouvrages d’or, en 2012, a lourdement pénalisé poursuit le Soir, les artisans et contraint de nombreux à mettre la clé sous le paillasson face à une concurrence déloyale exercée par des importateurs dont le gain est l’unique préoccupation au détriment des intérêts du pays et des artisans.
Quelle politique gouvernementale pour la PME ?
L’Expression revient dans son édition du jour sur le choix du gouvernement en adoptant en juillet dernier le projet de loi sur les PME. Le Conseil des ministres a introduit plusieurs nouveautés selon le journal car il s’agit de parvenir à la réalisation d’une croissance de ces entreprises.
Pour le ministère de l’Industrie et des Mines, l’objectif est de procéder à une adaptation de la définition de la PME par l’actualisation des seuils des chiffres d’affaires et des totaux des bilans par catégorie de PME, en rapport avec l’évolution de la réalité économique dont la valeur du dinar, l’inflation et d’autres paramètres, poursuit l’Expression qui ajoute que le directeur général de la PME auprès de ce ministère, Abdelghani Mebarek, avait expliqué que le projet de loi élargit aussi le champ d’application de la définition de cette catégorie d’entreprises pour permettre aux PME, dont le capital social est détenu à hauteur de 49% par une ou plusieurs sociétés de capital-investissement et qui respectent les autres critères de définition d’une PME, de bénéficier des dispositions de cette future loi.
C’est pour permettre également aux PME cotées en Bourse d’intégrer le champ d’application de cette loi, et aux PME en phase de création d’émarger aux programmes et mesures de soutien prévus par ce futur texte législatif, écrit l’Expression.
Vente de smartphones : Samsung indétronable
Samsung prend le large sur le marché des Smartphones. Telle est la tendance observée par IDC et Gartner sur le deuxième trimestre 2016, rapporte le site d’actualités économiques l’Econews qui précise que le groupe sud-coréen a profité du lancement de ses nouveaux modèles pour renforcer ses positions sur le marché, explique ces cabinets d’études de marché des Smartphone.
Dans le détail, l’étude estime selon l’Econews que Samsung a vendu 76,7 millions d’appareils au deuxième trimestre 2016 alors qu’Apple n’en vendait que 44,4 millions d’iPhone. En part de marché, Samsung conforte sa position avec 22,3% contre 21,8% au 2e trimestre 2015. Apple voit lui sa part de marché reculer de 14,6 à 12,9% entre 2015 et 2016. Au second trimestre de 2016, Samsung a près de 10 point d’écart avec Apple. Samsung a vu ses ventes de Galaxy A et Galaxy J concurrencer fortement les fabricants chinois.
