Le Conseil des ministres réuni, dimanche, sous la présidence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adopté le projet de loi de finances 2026, en tenant compte des orientations du président de la République, indique le communiqué de la réunion.
Ce dernier a souligné que « le texte ne devait comporter aucune mesure susceptible d’affecter le pouvoir d’achat des citoyens ». Il a demandé « l’élaboration d’un plan de modernisation du fonctionnement de l’Office national des statistiques (ONS), sur les plans structurel et technique, et la création d’annexes régionales et locales pour disposer de données plus représentatives du territoire national. »
Le président Tebboune a également insisté « sur la mise en place d’un système fiscal plus efficace, sans pression excessive sur les contribuables, et sur la lutte contre la fraude et les comportements négatifs en matière d’impôts. » Il a précisé que « le projet devait être incitatif à l’investissement et à la concurrence », et qu’« il ne devait pas contenir de décisions sectorielles à caractère populiste, mais plutôt des mesures économiques étudiées et porteuses de valeur ajoutée. »