17h00
حشود بشرية بشارع ديدوش مراد وسط الجزائر
Marée humaine à la rue Didouche Mourad au centre d’Alger #الجزائر#الحراك_53#ثورة_22_فيفري #الجمعة_53#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_53#Revolution_22_fevrier pic.twitter.com/LYIApteYfE— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 21, 2020
La deuxième vague entame sa descente aux cris de « le peuple veut la chute du régime » pic.twitter.com/NctriYNDZR
— Mehdi A. (@MehdiAlioui) February 21, 2020
A cette date-là, il convient de rappeler que des centaines de milliers de citoyens, toutes tranches d’âge et catégories professionnelles confondues, ont manifesté dans toutes les villes du pays pour s’opposer au projet de 5ème mandat du président Abdelaziz Bouteflika et réclamer un changement radical.
Sous la pression du Hirak, l’élection présidentielle qui devait se tenir le 18 avril, est reportée. Après la démission de Bouteflika le 2 avril, une deuxième date, le 4 juillet, est fixée, mais le scrutin n’a pas lieu, faute de candidats.
« ماجيناش نحتفلوا جينا باش ترحلوا »
« Nous ne sommes pas là pour célébrer mais pour que vous partiez »#الجزائر#الحراك_53#ثورة_22_فيفري #الجمعة_53#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_53#Revolution_22_fevrier pic.twitter.com/gG7f5Vm9ht— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 21, 2020
Le président Tebboune essuie des critiques depuis son élection le 12 décembre dernier par les manifestants. Tous les vendredis et mardis ayant suivi le scrutin qualifié d’imposé, au vu du taux d’abstention, les hirakistes ont critiqué violemment le chef de l’Etat a qui ils reprochent d’être issu d’une élection fraudée et imposée par l’armée.
الجمعة 53 من الحراك الشعبي في الجزائر، شعارات ضد عبد المجيد تبون
53e vendredi de mobilisation populaire en Algérie
Slogans hostiles à Abdelmajid Tebboune le successeur de Abdelaziz Bouteflika #الجزائر#الحراك_53#ثورة_22_فيفري #الجمعة_53#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_53 pic.twitter.com/HbybxazmQn— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 21, 2020
10h40
« قلنا العصابة تروح »#الجزائر#الحراك_53#ثورة_22_فيفري #الجمعة_53#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_53#Revolution_22_fevrier pic.twitter.com/saUQo2a1Au— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 21, 2020
V53 pic.twitter.com/ZbrGH3Spdw
— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 21, 2020
Tout au long des 12 mois de la vie du Hirak, des manifestants et des militants ont été injustement jetés en prison dans différentes régions du pays. Si la plupart ont été libérés après avoir purgés des peines de prison allant jusqu’à six mois, d’autres sont encore en détention, à l’instar des militants Karim Tabbou, Fodil Boumala, Abdelouhab Fersaoui, Said Boudour, le journaliste Sofiane Merakchi, et bien d’autres manifestants.
Les portraits de détenus d’opinion planent sur les manifestants à la rue Didouche Mourad pic.twitter.com/W251pS99jN
— Mehdi A. (@MehdiAlioui) February 21, 2020
Lorsque Abdelmajid Tebboune met en garde les manifestants des infiltrations, c’est une accusation implicite qu’ils sont infiltrés
Une attaque indigne à la veille d’un grand vendredi #Algerie pic.twitter.com/lPbRhmQId9— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 20, 2020