Le SG de l’UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd à déclaré , ce dimanche 24 février 2019 à Adrar, que les travailleurs de l’UGTA ont une dette envers le président Abdelaziz Bouteflika.
Préférant dit-il parler un discours syndicaliste et sincère, il a estimé que les travailleurs ont une dette envers Bouteflika. «Le président Bouteflika n’a jamais refusé de satisfaire aucune demande des travailleurs », a estimé Sidi Saïd, en ajoutant que «Nous avons une dette envers lui. Et celui qui ne paye pas ses dettes n’est pas un homme. Nous n’avons pas le droit d’être ingrats et ne pas reconnaître ce que le président Bouteflika nous a permis d’avoir », a-t-il déclaré à Adrar.
Sidi Saïd qui s’est exprimé à l’occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l’UGTA et la nationalisation des hydrocarbures, à dit que le discours de l’hypocrisie au sein de la centrale syndicale est révolu.
«Notre soutien pour Bouteflika est fondée sur des vérités. Il est venu de nos convictions et nos ambitions » à estimé Sidi Saïd.
Le SG de l’UGTA a rappelé les réalisations de Bouteflika en matière politique, notamment, la Concorde civile de 1999 et la Charte pour la paix et la Réconciliation de 2005.
«Nous avons un trésor entre nos mains, qui est la paix. Nous rêvions à un moment donné. Si la paix est revenue, c’est grâce à cet homme (Bouteflika) », a-t-il estimé.
Pour Sidi Saïd la décision de Bouteflika de ramener la paix par la réconciliation nationale est « une décision historique ». Selon lui, c’est cette décision qui a laissé l’UGTA soutenir Bouteflika pour un cinquième mandat.
Il a ajouté sans cet acquis qui est la paix, « Il n’y aura pas de développement économique », en estimant que « Celui qui a ramené la paix, mérite tout le bien de notre part ».
« Chacun est libre de choisir le candidat qu’il veut, et nous avons choisi Abdelaziz Bouteflika », a-t-il déclaré, en réaffirmant le soutien inconditionnel de l’UGTA à Bouteflika.
Tout en évoquant les violences de la décennie noire de, Sidi Saïd à déclaré : « Nous est-il permis de revenir à cette période où nous avons presque tout perdu. Nous avions perdus beaucoup de travailleurs, et plus de 30 milliards de dollars. Vous voulez qu’on revienne au sang et aux larmes ? Vous voulez qu’on revienne aux maisons et usines incendiées ? Moi je dis non ! Nous disons, Non ! Les gens d’Adrar diront Non ! Non à la Fitna ! », a indiqué Abdelmadjid Sidi Saïd.