L’Algérie et la Chine ont convenu, dans un Communiqué commun sanctionnant, mardi à Pékin, les entretiens entre le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune et son homologue chinois, M. Xi Jinping, de poursuivre l’intensification de la concertation politique, consolider la coopération sécuritaire, approfondir le partenariat économique et renforcer la coopération dans tous les domaines.
« A l’aimable invitation de M. Xi Jinping, président de la République populaire de Chine, le président de la République algérienne démocratique et populaire, M. Abdelmadjid Tebboune, effectue une visite d’Etat en Chine », souligne le document qui précise que les dirigeants des deux pays « ont eu des entretiens empreints d’amitié et de parfaite entente ».
« Les deux Présidents ont passé en revue les relations historiques unissant les deux pays amis, et salué le niveau de coopération et de coordination bilatérales à tous les niveaux, évoquant les voies et moyens de promouvoir les relations dans tous les domaines de manière à consacrer les intérêts des deux pays et peuples amis, tout en procédant à un échange de vues sur les questions bilatérales, régionales et internationales d’intérêt commun ».
Ils ont, par la même occasion, « exprimé leur considération pour la coopération fructueuse entre les deux parties au niveau bilatéral et dans les fora internationaux, soulignant l’importance du timing de cette visite qui coïncide avec la célébration, cette année, par les deux pays amis du 65e anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques ».
« La partie algérienne a félicité la Chine pour le succès du 20e Congrès national du Parti communiste chinois, et pour les résultats positifs et importants ayant sanctionné les travaux des deux sessions annuelles en Chine, notamment la décision de renouveler la confiance en la personne de M. Xi Jinping pour un nouveau mandat en sa qualité de président de la République populaire de Chine ».
La partie algérienne a, également, « salué les réalisations accomplies, ces dernières années, en matière de développement socioéconomique en Chine, sous la direction éclairée du Président Xi Jinping, souhaitant au peuple chinois davantage de progrès et de prospérité ».
De son côté, la partie chinoise a exprimé sa « considération pour les grandes réalisations de l’Algérie en matière de développement national, dans le cadre de la vision de l’Algérie nouvelle du Président Abdelmadjid Tebboune, souhaitant voir le peuple algérien atteindre, rapidement, l’objectif d’édifier un pays prospère, riche et fort ».
« A la lumière de l’évolution des relations entre les deux pays et de la volonté de les consolider à l’avenir, les deux Présidents ont décidé de poursuivre l’intensification de la concertation politique à tous les niveaux et de développer la coopération dans les domaines politique, économique, culturel, artistique, sécuritaire et de défense, ainsi que d’approfondir les relations de partenariat stratégique global entre les deux pays », précise le Communiqué commun.
« Ainsi, les deux parties tendent à consolider davantage les intérêts communs et à renforcer l’appui mutuel, en vue de surmonter les difficultés induites par les différents crises et défis successifs auxquels est confronté le monde ».
Les deux parties ont mis en avant « l’importance de consolider la coopération politique et sécuritaire et leur détermination à intensifier le contact et la coopération à différents niveaux gouvernementaux et législatifs, dans l’objectif de concrétiser les intérêts communs des peuples des deux pays ».
Au volet économique, les deux parties se sont félicitées de « l’évolution du volume de leurs relations économiques et commerciales » et ont affirmé leur détermination à « approfondir le partenariat économique et consolider la coopération pratique dans tous les domaines, œuvrer à l’augmentation du volume des échanges commerciaux et à faciliter les exportations hors-hydrocarbures algériennes vers la Chine, mais aussi augmenter le volume des investissements qualitatifs chinois, à la faveur des multiples avantages qu’offre la nouvelle loi de l’investissement en Algérie ».
Les deux parties ont convenu de « consolider le travail en vue de bénéficier des opportunités commerciales et d’investissement offertes, d’intensifier le contact et les visites entre les secteurs publics et privés des deux pays, de conjuguer les efforts en vue de créer un environnement d’investissement favorable, incitatif, idoine et encourageant, de consolider l’économie, le commerce et l’investissement, de raffermir les partenariats et d’ouvrir des horizons plus larges de coopération économique entre les deux pays dans différents domaines ».
Elles ont, également, convenu de « renforcer la coopération scientifique et académique, soutenir les établissements culturels chinois et algériens pour coopérer pour organiser une série d’activités culturelles en vue de la célébration du 65e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Chine et l’Algérie, poursuivre l’élargissement du contact entre les individus et raffermir les relations d’amitié algéro-chinoises au niveau populaire dans les différents domaines culturel, sportif, touristique et médiatique, et ce dans le cadre de l’Algérie nouvelle et l’initiative de la +Ceinture et la Route+, mais aussi par l’approfondissement de la coopération dans plusieurs domaines, y compris dans l’industrie automobile, les sciences de l’espace, l’agriculture, la culture, le tourisme, la construction des ports, les services de logistique, le dessalement de l’eau, les infrastructures, les industries manufacturières, la métallurgie, le secteur financier, l’économie numérique, l’énergie, les mines, l’enseignement, la recherche scientifique, l’enseignement de la langue chinoise, les médias, l’administration fiscale, les douanes, ainsi que la lutte contre la corruption ».
Les deux parties ont convenu de « consolider l’adaptation des stratégies de développement des deux pays de manière globale, exploiter les avantages complémentaires et approfondir la coopération pratique au mieux des intérêts des deux peuples » et se sont félicitées de la signature, en novembre et décembre 2022, du « Plan exécutif pour la concrétisation conjointe de l’Initiative de la Ceinture et de la Route », du « 2e Plan quinquennal de coopération stratégique globale (2022-2026), ainsi que du « Plan triennal 2022-2024 de coopération dans des domaines stratégiques ».
Les deux parties sont parvenues également à une série d’accords et de mémorandums d’entente qui porte sur l’ensemble des domaines de coopération, et se sont félicitées de l »‘appui mutuel et de la coopération bilatérale dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Coronavirus (Covid-19), saluant le partenariat entre les deux pays dans le domaine de la production de vaccins ».
Les deux Présidents ont, en outre, fait part de leur « détermination à consolider la coopération dans le domaine de la santé, laquelle remonte à l’année 1963, date d’envoi par la Chine de la 1e mission médicale en Algérie en dehors de son territoire ».
Concernant les positions des deux pays vis-à-vis des questions internationales, l’Algérie et la Chine ont réaffirmé leur attachement à « intensifier la concertation et la coordination autour des questions internationales et multilatérales, poursuivre le soutien constant de leurs intérêts fondamentaux, se soutenir mutuellement lorsqu’il s’agit de la préservation de leur souveraineté et intégrité territoriales, consentir des efforts communs pour défendre le principe de non-ingérence dans les affaires internes des pays, entre autres règles de la légalité internationale et principes fondamentaux des relations internationales ».
Les deux pays ont, également, souligné l’impératif de « respecter le principe de bon voisinage et veiller au renforcement continu de la démocratie dans les relations internationales, en plus du règlement des conflits par le dialogue et les voies pacifiques », soulignant la « nécessité de préserver le système des Nations unies dont le centre est l’ONU et l’ordre mondial basé sur le Droit international et les règles fondamentales régissant les relations internationales, fondées sur les principes et les objectifs de la Charte de l’ONU ».
Les deux parties ont convenu, en outre, de « maintenir leur attachement au multilatéralisme, au renforcement des principes de coopération, de solidarité, de justice et d’équité dans les relations internationales, et de préserver les intérêts des pays en voie de développement et défendre leurs droits ».
La partie algérienne a réaffirmé son « respect du principe d’une Chine une et unie, Taïwan étant partie intégrante des territoires chinois », et exprimé son « opposition à l’indépendance de Taïwan, quelle qu’en soit la forme, soutenant aussi la position de la Chine dans les questions relatives aux droits de l’homme, au Xinjiang, à Hong Kong, au Tibet et autres, et rejetant toute tentative de politiser la question des droits de l’homme ou de l’utiliser comme moyen de pression dans les relations internationales ».
La partie chinoise a exprimé, pour sa part, son « soutien aux efforts de l’Algérie visant à préserver sa sécurité nationale et sa stabilité, saluant le processus de développement qu’elle a enclenché pour réaliser un décollage économique global ».
La partie algérienne a informé, de nouveau, la partie chinoise de ses démarches entreprises pour demander l’adhésion de l’Algérie au BRICS, et des raisons ayant motivé cette démarche, notamment les « mutations profondes que connait l’économie algérienne et les aspirations de l’Algérie à s’adapter aux développements survenus sur la scène économique mondiale ».
La partie chinoise a salué la « volonté positive de l’Algérie d’adhérer à ce groupe et affirmé soutenir ses efforts pour atteindre cet objectif ».
La partie algérienne a exprimé sa « considération quant à la position de la Chine à ce propos et sa détermination à accompagner l’Algérie dans toutes les étapes de concrétisation de ce projet ».
La partie algérienne a, également, remercié la Chine pour son « soutien à la candidature de l’Algérie en qualité de membre non-permanent du Conseil de sécurité des Nations unies pour la période 2024-2025 ». La Chine a félicité l’Algérie pour son « élection en tant que membre non-permanent de ce Conseil. Les deux parties aspirent à renforcer la coopération et la concertation autour des questions inscrites à l’ordre du jour du Conseil de sécurité ».
Les deux parties se sont félicitées de la tenue du 1e sommet sino-arabe à Ryadh le 9 décembre 2022 et salué ses résultats, notamment à la lumière de la conjoncture prévalant actuellement à l’échelle internationale. Elles ont, dans ce sens, affirmé leur soutien à l’initiative « Travailler par tous les moyens pour que les sociétés arabe et chinoise édifient un avenir commun vers une nouvelle ère », et salué le « rôle important du Forum sur la coopération sino-arabe dans le renforcement de la coopération collective entre la Chine et les pays arabes, exprimant leur disponibilité à participer au soutien et au développement de ce Forum ».
Par ailleurs, la partie chinoise a « félicité l’Algérie pour l’accueil réussi du Sommet arabe, les 1er et 2 novembre 2022 », saluant son « rôle actif dans l’unification du rang arabe et le renforcement de l’action arabe commune et face aux défis qui se posent aux pays arabes dans divers domaines ».
La partie chinoise a également exprimé son « soutien au rôle constructif et important de l’Algérie sur les scènes régionale et internationale ».
A son tour, la partie algérienne a « salué les initiatives et les idées présentées par la Chine, ainsi que les efforts positifs déployés pour trouver une solution juste et durable aux questions du Moyen-Orient ».
Les deux parties ont affirmé que la « situation dans cette région est liée à la sécurité et à la stabilité dans le monde et que les efforts en faveur de la paix et de la prospérité dans cette région s’inscrivent en droite ligne avec l’intérêt commun de la communauté internationale ».
Les deux parties ont, en outre, souligné la « nécessité de régler la question palestinienne conformément au Droit international et aux résolutions de la légalité internationale, qui consacrent le droit du peuple palestinien à établir son Etat indépendant et entièrement souverain sur les frontières de 1967, avec El-Qods comme capitale, pour instaurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient, dans le cadre du respect mutuel et de l’observation des principes de justice et d’équité ».
L’Algérie et la Chine ont aussi mis en avant leur « soutien aux efforts de l’Etat de Palestine pour obtenir la qualité de membre à part entière aux Nations Unies et dans les organisations pertinentes ».
La partie chinoise a loué les efforts inlassables du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour la réunification des factions palestiniennes et la réalisation de la réconciliation et de l’unité palestiniennes, couronnés par la « Déclaration d’Alger ».
De son côté, la partie algérienne a salué les initiatives et les visions présentées, maintes fois, par le Président Xi Jinping pour le règlement de la question palestinienne, en particulier sa récente « proposition en trois points, se félicitant du soutien constant et de longue date apporté par la partie chinoise à la juste cause du peuple palestinien pour le recouvrement de ses droits nationaux légitimes, ainsi que de son appui au renforcement de l’unité entre les factions palestiniennes et à la réalisation de la réconciliation nationale par le dialogue et la concertation ».
Les deux parties ont convenu de la « nécessité d’œuvrer à trouver des solutions politiques et pacifiques aux questions urgentes et aux autres crises dans la région arabe, notamment en Syrie, en Libye, au Yémen et au Soudan, et ce, à travers le dialogue et la concertation et dans le respect de la souveraineté, de l’indépendance et de l’intégrité territoriale des pays de la région, soulignant le rejet des ingérences étrangères ».
Les deux parties ont insisté, par ailleurs, sur la « nécessité de faire face, de concert, aux organisations terroristes et extrémistes activant sur leurs sols, de soutenir les efforts déployés par le Liban, la Somalie et le Soudan pour assurer la sécurité, la stabilité, le développement et la prospérité et lutter contre le terrorisme, et d’appuyer les efforts de l’ONU et de la Ligue arabe en la matière ».
La partie chinoise a affirmé son « soutien aux pays arabes pour le règlement des questions de sécurité dans la région à travers la solidarité et la coopération ».
Dans ce contexte, la partie algérienne a salué les « louables efforts de médiation entrepris par la Chine entre le Royaume d’Arabie saoudite et la République islamique d’Iran, qui ont abouti à un accord à Pékin, le 10 mars 2023, et à la signature d’une déclaration commune dans la capitale chinoise, le 6 avril 2023, annonçant la reprise des relations entre les deux pays et l’amorce d’une nouvelle ère de consensus, de coopération et de paix ».
Les deux parties ont souligné l’importance du partenariat stratégique global entre l’Afrique et la Chine, et du soutien des efforts des pays du continent visant à réaliser leurs objectifs communs de développement conformément à l’agenda 2063, mettre fin aux crises qui menacent la paix, la sécurité et la stabilité au continent africain, en se référant aux principes fondamentaux de la Charte constitutive de l’Union Africaine, et œuvrer à développer des solutions africaines aux problèmes africains ».
La partie algérienne a salué la vision du président Xi Jinping concernant le concept de transparence, de viabilité, de convivialité et d’honnêteté envers l’Afrique, ainsi que ses démarches visant à poursuivre l’ancrage de la confiance politique mutuelle entre l’Afrique et la Chine, approfondir la coopération pratique dans tous les domaines, et fournir l’appui nécessaire à l’ancrage de la paix et du développement en Afrique.
Elle a salué, également, le « soutien indéfectible de la partie chinoise aux pays africains pour la réalisation de leur indépendance nationale, sur les voies de développement adaptées à leurs conditions nationales et leurs efforts visant à atteindre l’intégration et la solidarité », estimant que la « coopération chinoise envers l’Afrique est en tête de la coopération internationale envers ce continent, et que les résultats de cette coopération ont contribué à l’amélioration des conditions de développement économique et social en Afrique et généré des avantages concrets pour le peuple chinois et pour les peuples africains ».
Dans ce contexte, la partie chinoise a salué le « rôle important de l’Algérie dans le soutien de la stabilité et du développement, ainsi que l’instauration de la paix en Afrique, et ce, à travers ses efforts inlassables pour régler pacifiquement les crises notamment en Libye, au Mali et dans la région sahélo-saharienne, en sus de son engagement permanent et de ses grands efforts dans le cadre de son mandat en tant que coordonnateur de l’Union Africaine pour la prévention contre le terrorisme et l’extrémisme violent et la lutte contre la propagation de ce fléau dangereux dans le continent, en veillant sur le transfert de l’expérience algérienne réussie dans l’éradication du terrorisme ».
La partie chinoise a salué également les « contributions de l’Algérie dans la réalisation de l’agenda 2063, notamment dans le domaine de l’intégration économique à travers des projets structurants et de développement gigantesques, de dimension africaine, avec les pays du continent, ainsi que ses efforts en matière d’activation de la zone de libre-échange, à même de promouvoir les échanges commerciaux entre les pays africains, en plus de l’impact positif de la partie algérienne dans le financement des projets de développement dans les pays africains, notamment les projets d’intégration dans les domaines économique, culturel, social, culturel et scientifique ».
Concernant la question du Sahara Occidental, les deux parties ont affirmé leur « soutien aux efforts visant à parvenir à une solution durable et juste dans le cadre de la légalité internationale, notamment les résolutions pertinentes de l’ONU, à même de garantir au peuple sahraoui son droit à l’autodétermination, suivant des démarches conformes aux principes de la charte de l’ONU et ses objectifs, exprimant leur soutien aux efforts des Nation Unies dans ce sens ».
S’agissant de la situation en Ukraine, les deux parties ont appelé au « règlement des différends par les voies pacifiques, à travers le dialogue et les négociations et au respect du Droit international et des objectifs et principes de la charte des Nations unies », estimant « inadmissible d’assurer la sécurité à un Etat au détriment d’un autre Etat », et soulignant la nécessité de « s’intéresser aux préoccupations sécuritaires raisonnables des pays concernés et de les résoudre de manière appropriée, mais aussi de ne pas recourir aux sanctions unilatérales ou à toutes autres mesures coercitives afin d’éviter de violer le Droit international ou de porter atteinte aux conditions de vie des peuples des pays concernés, et d’atténuer la gravité des répercussions humanitaires pouvant en résulter et de tout mettre en œuvre pour alléger l’escalade de manière à permettre de trouver une solution pacifique à cette crise ».
La partie algérienne a exprimé sa « considération pour les efforts de la Chine visant à contribuer à répandre la paix et le développement internationaux, ainsi que son soutien aux deux initiatives du président Xi Jinping, à savoir les initiatives de sécurité mondiale et de développement mondial, qui appellent la communauté internationale à prêter attention aux questions de développement et à relancer le partenariat mondial pour la coopération de développement, et qui mettent en exergue l’importance de s’attacher au concept de sécurité commune, globale, coopérative et durable ».
Les deux parties souhaitent, selon le Communiqué commun, « faire progresser la coopération dans les domaines prioritaires dans le cadre de l’initiative mondiale pour le développement, et contribuer à accélérer la mise en œuvre de l’Agenda des Nations unies pour le développement durable à l’horizon 2030 ».
La partie algérienne a, également, salué l’initiative de la Civilisation mondiale lancée par le président chinois, soulignant « l’importance de la tolérance, de la coexistence, des échanges et de l’apprentissage mutuel entre différentes civilisations ».
La partie chinoise a, de son côté, salué les « efforts considérables consentis par l’Algérie pour garantir le droit des pays émergents à un développement global et durable ».
L’occasion était pour le président de la République d' »exprimer ses vifs remerciements et sa gratitude au président chinois pour l’accueil chaleureux et l’hospitalité dont il a été entouré, ainsi que la délégation l’accompagnant », faisant part de « ses vœux les meilleurs de santé et de bonheur au président Xi Jinping et au peuple chinois ami, lui souhaitant davantage de progrès et de prospérité ».
Le président Tebboune a adressé une invitation à son homologue chinois pour visiter l’Algérie. Le président chinois l’a remercié pour cette « aimable invitation », « la date de cette visite devant être arrêtée d’un commun accord », a conclu le Communiqué.
APS