Les start-up du secteur des technologies bénéficient d’une attention importante des investisseurs. La SFI ne déroge pas à la règle. Elle pourrait de nouveau soutenir le secteur.
La Société financière internationale (SFI), la branche de la Banque mondiale en charge du secteur privé dans les pays en développement, réfléchit sur une possibilité d’apporter 10 millions $ supplémentaires au profit des start-up en Afrique. L’institution devrait bientôt décider si elle participera au financement du deuxième fonds de la firme TLcom Capital dédié à cet effet.
Ce nouveau fonds vise à lancer des investissements de démarrage au profit des start-up technologiques en Afrique de l’Est et de l’Ouest. Les secteurs des produits et services de technologie financière, de logistique électronique, de chaîne d’approvisionnement électronique et de technologie de la santé susciteront un intérêt particulier de la part de ce fonds.
Il faudra peut-être attendre le mois de juin pour savoir quelle est la décision de la SFI. Au-delà d’apporter des soutiens aux start-up, le fonds TideAfrica de TLcom Capital qui est basé à Londres est surtout rentable. Il est estimé que le premier fonds de la firme d’un montant de 71 millions $ pourrait rapporter près de trois fois la mise initiale. Ses montants d’investissement varient de 500 000 $ à 10 millions $.
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