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Blé et orge : l’Algérie veut atteindre un rendement de 30 à 35 quintaux par hectare

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Un groupe de travail intersectoriel associant les secteurs de l’Industrie, de l’Agriculture et des Ressources en eau a été installé jeudi à Alger dans l’objectif de renforcer la production agricole à travers notamment l’élargissement des capacités de stockage et l’augmentation du rendement.

L’installation de ce groupe de travail a été supervisée par les ministres de l’Industrie, de l’Agriculture et du Développement rural, et des Ressources en eau et de la Sécurité hydrique, respectivement MM. Ahmed Zeghdar, Mohamed Abdelhafid Henni, et Karim Hasni, selon l’agence APS, qui a précisé que le groupe de travail est composé de responsables des trois secteurs et des instances et établissements sous tutelle.

La tenue de la réunion de coordination et l’installation du groupe de travail interviennent en application des orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, portant élargissement des capacités nationales de stockage de céréales, notamment dans les wilayas réalisant de grands rendements et l’interdiction du stockage dans les lieux non couverts.

Blé et orge : atteindre un rendement de 30 à 35 quintaux par hectare

Des orientations qui ont porté, dans le même sens, sur la nécessaire augmentation du rendement par hectare de blé et d’orge, tout en intensifiant le partenariat étranger, dans l’objectif d’atteindre une moyenne de production de 30 à 35 quintaux par hectare.

Ont assisté à la rencontre des responsables des groupes industriels pouvant doter le secteur agricole de moyens et d’équipements agricoles, en tête desquels le groupe mécanique public AGM (Algerian Group of Mechanics) et le groupe industriel IMETAL.

Etaient également présents à la rencontre des responsables du ministère de l’Agriculture et des instances sous tutelle, à l’instar de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) et l’Institut national des sols, de l’irrigation et drainage (INSID), ainsi que des responsables du ministère des Ressources en eau et de l’Agence nationale des ressources hydrauliques (ANRH).

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