Hormis les grands dossiers de l’heure, et la concrétisation des engagements annoncés, le président de la République n’a pas manqué d’évoquer avec force lors de sa rencontre avec les médias, les effets des agressions et des attaques sur les réseaux sociaux, des mercenaires qui ont poussé l’outrecuidance jusqu’ à annoncer sa mort, lors de son absence durant le référendum pour l’amendement de la loi fondamentale du pays.
Clairement, le président de la république a pointé du doigt les responsables d’une propagande soutenue et alimentée par les Zitout et consorts, qui tentent de déstabiliser les algériens, dans le but de satisfaire les ambitions et des appétits des agendas étrangers.
Faisant savoir que des lobbys français puissants se trouvent derrière cette nébuleuse, ne sont pas inconnus de l’Etat français, « de puissants lobbies en France, notamment un impliquant des voisins et qui s’emploie à parasiter les relations entre les deux pays et un autre représentant ceux qui ont perdu leur paradis (l’Algérie) et qui leur reste en travers de la gorge » précisant qu’il n’appartient à l’Algérie de s’immiscer dans les affaires des autres pays.
Néanmoins, il a affirmé que cet ordre établi par l’ancien régime et ses commanditaires, ne sont plus d’actualité et que le peuple n’est plus dupe et a pris conscience du danger qui guette l’Algérie, et qui nécessite une mobilisation sans précédent pour protéger le processus constitutionnel et électoral des menaces de déstabilisation.
Ces dernières ne sont pas exprimés uniquement à travers les tentatives de récupérations du Hirak, et des rumeurs incessantes provenant des traîtres de la nations qui ont choisi de se nourrir du venin sioniste et impérialiste qui convoite la chute depuis des décennies.
L’autre grand danger est sans conteste, la contre révolution que le président de la République a évoqué pour parler des responsables qui se trouve toujours sous le joug de la « Issaba », et qui mène une guerre administrative, dont l’ultime but est de faire douter les citoyens de la volonté de l’Etat à changer les choses.
Dans ce sens, l’année 2020 a été le théâtre de moult dysfonctionnement et d’incompétence, qui ont lourdement entravé la concrétisation des décisions gouvernementales, qui devaient justement palier aux manques et acter une rupture avec les anciennes pratiques.
Les algériens ont eu droit après une forte lueur d’espoir, à une grande désillusion, celle de constater avec amertume que l’argent sale sévit toujours dans les sphères comme l’a confirmé le président de la République, a promis que l’Etat saura riposter au moment opportun. Pour ceux là, l’heure des comptes et de la facture est proche selon le président, qui a bien précisé, qu’ « ils le paieront cher ».
A cet effet, le remaniement ministériel partiel et l’édification d’un nouveau découpage administratif, interviennent pour contrer cet acharnement de certaines parties à prôner le retour de l’anarchie et du chaos.
Pour le président de la République, elles n’ont aucune chance d’aboutir à leurs fins, et la dissolution de l’APN, et l’organisation des élections législatives et locales, permettra de renouveler les assemblés et de donner un nouveau point de départ, ou l’argent sale, l’incompétence, et le clientélisme n’auront pas de place.
Pour ce faire, il a été décidé la mise en place d’un outil de contrôle et de mise en œuvre des décisions gouvernementales, pour contrer l’immobilisme sournois que tentent d’imposer les commanditaires de la contre-révolution.
Cependant une participation massive est hautement requise lors des prochaines élections, pour signifier une adhésion indéfectible au processus constitutionnel, et faire ce rendez vous, l’acte 1 de l’Algérie nouvelle.
Celle qui ne se prosterne ni devant les grands lobbys, des grandes puissances, qui veulent casser le seul point de stabilité dans la région, et qui ne plie sous les attaques incessantes d’une caste islamiste sanguinaire qui se compte à la solde de l’actuel rashad, et qui remue ciel et terre pour servir ses commanditaires, en l’occurrence , les ennemis de toujours de l’Algérie.