Déjà trois semaines se sont écoulées après le premier anniversaire du Hirak, et les Algériens sont descendus dans les rues de la capitale pour exprimer leur rejet de la classe politique et pour réclamer un véritable changement.
13h05#الجزائر#الجمعة_56#الحراك_56#Alger#Algerie#Vendredi_56 pic.twitter.com/eqxMKna1gu
— Khaled Drareni (@khaleddrareni) March 13, 2020
Les manifestants de ce 55e vendredi consécutif, à Alger, ont scandé les slogans habituels contre le pouvoir en place : « un Etat civil et non militaire ». Ce 56è vendredi se déroule dans des conditions un peu particulières, alors que le coronavirus a fait deux morts en Algérie et vingt-quatre cas confirmés. plusieurs arrestations ont été signalées ce matin à Alger, notamment au niveau de la rue Victor Hugo.
اعتقالات بالجملة بشارع فكتور هيجو و من أمام مسجد الرحمة من أجل منع مسيرة الصباح
Série d’interpellations à la rue Victor Hugo et aux alentours de la mosquée Errahma pour empêcher la manifestions du matin #الجزائر#الجمعة_56#الحراك_56#Alger#Algerie#Vendredi_56— Khaled Drareni (@khaleddrareni) March 13, 2020
Un peu plus d’un an après le déclenchement du Hirak, contre l’ancien président déchu, Abdelaziz Bouteflika qui briguait un cinquième mandat, les manifestants n’ont pas perdu de vue leurs revendications initiales, notamment un changement du paradigme politique et l’avènement d’un Etat civil et démocratique.
"نوض منا"…
عبارة قالها شرطي لمواطن كان جالسا تسببت في انتفاض #المواطنين وبدء #التظاهر#الجزائر #الحراك_الشعبي #الجمعة_56#Algérie #aleria #hirak #vendredo_56 pic.twitter.com/xCUGUGqlUA— Mstapha Bastami مصطفى بسطامي (@musbastami) March 13, 2020