Le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelkader Bengrina, a attaqué une partie des partisans de la période de transition, les accusant d’être « les alliés de la bande » qui étaient à bord des chars dans les années 1990 et qu’il avaient planifié de prolonger le mandat de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika en 2018, s’attaquent aujourd’hui ceux qui croient que les élections sont la solution pour sortir de la crise que traverse le pays.
Depuis Relizane où il a animé un meeting pour le compte du cinquième jour de la campagne électorale pour la présidentielle, ces gens-là qui ont perdu leurs privilèges, étaient sur le point de prendre les armes le mois dernier pour les défendre.
L’identité arabo-islamique du peuple algérien
« Ils recevaient financement et soutien de ceux qui sont actuellement à la prison d’El Harrach (…) », a-t-il dit, ajoutant que « s’ils ne s’arrêtent pas je révélerai leurs identités ».
Selon lui, la bataille est devenue évidente : « il s’agit de toucher au préambule de la Constitution et l’identité arabo-islamique du peuple algérien », a-t-il dit.