En ce 37e vendredi consécutif de Hirak, qui coïncide avec le 1er novembre, date du déclenchement de la guerre de libération, des milliers d’Algériens ont battu le bavé dans la capitale et dans d’autres régions du pays pour exprimer leur rejet de l’élection présidentielle et réclamer plus de démocratie et de liberté dans le pays.
À Bouira, une foule importante est descendue dans la rue en scandant « pas d’élection »
Bouira.
Rejet total des élections pic.twitter.com/XImKJYtnQi
— Journal d'El Mouradia – جرنان المرادية (@JournalMouradia) November 1, 2019
À Annaba, des manifestants sortis en masse ont scandé « makache el vote »
A Béjaia, une foule compacte a scandé « pas d’élection avec la bande »
À Tizi Ouzou, des milliers de manifestants ont pris d’assaut les rues de la ville pour dire non à l’élection présidentielle
#TiziOuzou#1novembre2019#1novembre1954 pic.twitter.com/3F5GAVdLKf
— Kamal Cherif كمال شريف (@kdjdz) November 1, 2019
À Jijel, les manifestants, très nombreux, scandent « Gaid, makache el vote »
A Oran, les manifestants ont battu le pavé en ce 1er novembre en scandant « pas d’élection avec la bande », « vous avez pillé le pays »
Même son de cloche à Tiaret où des milliers de manifestants ont exprimé leur rejet des élections « makache el vote », « les généraux à la poubelle et l’Algérie recouvrera son indépendance »
À Constantine, les manifestants ont exigé le départ de toute la bande
À Sétif, le Hirak a déferlé dans les rues de la ville.
À Skikda, les manifestants ont rejeté les élections présidentielles.
À Batna, les manifestants en masse ont rejeté la présidentielle prévue le 12 décembre.