Le dialogue national est devenu plus qu’une option et plus qu’un besoin, c’est aujourd’hui une nécessité vitale qui inclus l’intérêt suprême de la patrie », écrit Ali Benflis, affirmant qu’il « n’y a ni alternative ni autre issue que le dialogue ».
En effet, l’ancien chef du gouvernement (2000-2003) a réagi au panel annoncé hier par le chef de l’Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, pour mener le dialogue. « Depuis le début de la crise, nous sommes aujourd’hui plus proche que jamais d’une solution », a-t-il précisé, avant de souligné que « les conditions et les circonstances du règlement de la crise sont à notre portée plus qu’elles ne l’étaient durant toutes les précédentes étapes. Le dialogue est le début d’un parcours et non sa fin ».