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Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Slimane Brahmi, a présidé, samedi à Alger, la cérémonie d’installation du nouveau Premier président de la Cour suprême, Abderrachid Tabi.
Cette cérémonie, qui a eu lieu au siège de la Cour suprême, a vu également l’installation du Procureur général, Abderrahim Madjid.
Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, avait procédé, lundi dernier, à la nomination de M. Abderrachid Tabi au poste de Premier président de la Cour suprême en remplacement de Slimane Boudi, qui occupait ce poste depuis 2013, et de M. Abderrahim Madjid, Procureur général près la Cour suprême, en remplacement de Benabid El Ouardi.
Agé de 59 ans, M. Abderrachid Tabi est diplômé de l’Ecole national d’Administration (ENA) en 1983 et titulaire du diplôme de l’Ecole nationale d’administration publique de Québec (ENAP) au Canada.
Tabi a occupé les postes de Secrétaire général (SG) du Tribunal militaire de Blida (dans le cadre du service national), de procureur de la République près plusieurs tribunaux (Sidi Aissa, Sour El Ghozlane, Boussaâda et Bouhadjar), de Procureur général adjoint près la Cour de Sétif, de Directeur du personnel de rééducation au ministère de la Justice, de chef de cabinet du ministre de la Justice, Garde des Sceaux, de Procureur général près les Cours d’Oum El Bouaghi et de Bouira et Avocat général et Procureur général adjoint près la Cour suprême.
Tabi a occupé également des postes supérieurs en dehors du secteur de la justice, notamment ceux de chef de cabinet du gouvernement d’Ahmed Benbitour, de chef de cabinet du ministre des Moudjahidine, de chef de cabinet du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), de Secrétaire général de l’APN et de Directeur général des relations internationales au sein de la même instance législative.
Il a participé, en cette qualité, à plusieurs rencontres internationales et conférences régionales dans la cadre de l’Union interparlementaire arabe (UIPA), de l’Union interparlementaire (UIP), de l’Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne (APEM), de la Cour pénale internationale (CPI), du Parlement européen, ainsi qu’aux séances d’Audition parlementaire annuelle des Nations-Unies et de l’Union des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (UPCI).
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