Djamel Ould Abbes, ancien secrétaire général du FLN et actuel sénateur, a été pris à partie à Alger par des citoyens qui lui reprochent son soutien à un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, alors que ce dernier était incapable de prétendre à un nouveau mandat. Devant les citoyens, Djamel Ould Abbes a même tenté de nier sa position en faveur du 5e mandat.
Interpellé par les citoyens à travers la vitrine de son véhicule pour savoir s’il soutient le mouvement populaire, Ould Abbes répond oui par un hochement de tête. Pris à partie par un autre citoyen qui lui reproche d’avoir profité de l’argent du peuple, Ould Abbes a répondu en indiquant qu’il est « médecin ».