« Le 8 mai 1945 est venu annoncer à l’occupant que le compte à rebours de la fin a commencé. Le 8 mai 1945 est venu annoncer à la France coloniale que le temps de l’injustice, de la répression et de la répression est révolu. Le 8 mai 1945 est venu annoncer au monde entier qu’en Algérie, des femmes en soie et des hommes libres ont été conçus pour briser les chaînes et les chaînes de l’esclavage, pour récupérer leurs terres, leurs droits et leur liberté et devenir des maîtres présents Ils ont vu et les créateurs de leur destin », c’est avec ces propos que le président le président du parti de Talaie El Houriat, Ali Benflis, s’est exprimé aujourd’hui sur cette date historique dont la commémoration intervient dans un contexte particulier marqué par la contestation populaire contre le régime.
Pour lui, ce cri fort s’est élevé dans les cieux de kherrata, Sétif, Beni Aziz, mondialisation et bien d’autres régions de nos terres les ; les montagnes de babor, les plaines de Guelma et les hauts plateaux de Sétif ont porté les échos de ce cri de liberté à toutes les villes de Nos villes, chaque village de nos villages, tous les suspects de nos villes, et chaque circulaire de nos villes.
« C’était quoi ce cri ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Quel est le message non tolérant que j’ai adressé à l’occupation, qui est tout à fait certain qu’il est le plus souvent, constant et permanent tout au long de son temps et de ce cri avait prévu que l’histoire avait tourné et qu’elle allait vers le rétablissement de la souveraineté et de la liberté et non pas vers la poursuite de la tyrannie et de la répression », s’interroge-t-il en poursuivant « Oui, le 8 mai 1945 a été le chemin de la glorieuse révolution de novembre. Oui, que ceux qui sont tombés martyrs le 8 mai 1945 étaient les premiers martyrs d’une cause sacrée ; c’est une question d’indépendance et de souveraineté de la nation ; c’est une question d’honneur et de liberté ».