Le groupe Benamor dément catégoriquement, ce mercredi 17 avril 2019, tout transfert illégal de devises vers l’étranger, indique le groupe éponyme, dans un communiqué publié sur sa page Facebook.
«En date du 08/04/2019 une chaine de télévision étrangère a diffusé une émission qui accusait le groupe Amor Benamor, par la voix d’un journaliste algérien, de violations et irrégularités présumées commises via une société installée en Suisse dont l’objet serait de transférer illégalement des devises vers l’étranger», écrit le groupe appartenant à Mohamed Laïd Benamor.
Il précise que «la même émission se penchait sur le cas de la boulangerie industrielle de CORSO, enchaînant les contre-vérités sur l’historique du projet, et ses modalités de développement.»
Le groupe Amor Benamor dément ‘’catégoriquement’’ «toutes les accusations et allégations calomnieuses, diffamatoires et téléguidées proférées à l’antenne de cette chaîne de télévision», et note avec ‘’ironie’’ que «l’entreprise Amel TV est elle-même installée à Genève, à la même adresse qu’un autre média algérien.»
«Le groupe Amor Benamor met en demeure cette chaîne de télévision et les journalistes qu’elle emploie de présenter la moindre preuve sur la véracité de ces allégations mensongères», ajoute le même communiqué, dans lequel le groupe réitère «sa disponibilité pour livrer à la presse professionnelle tous les éléments réfutant ces accusations.»
La même source explique que «la société General Food Compagny a été créée en Suisse dans le but de commercialiser et distribuer les produits du groupe Amor Benamor en Europe. Toutes ses factures sont réglées en devises. Elle n’a vendu ni produits ni équipements du groupe. Ses comptes sont certifiés chaque année. Et consultables en toute transparence. Le groupe Amor Benamor demeure entièrement disposé à présenter les bilans prouvant ces vérités.»
Le groupe Amor Benamor précise aussi, en ce qui concerne la boulangerie industrielle de Corso, que «le projet a été lancé dans le cadre d’un partenariat légal avec le groupe public ERIAD Alger, concrétisé par la création d’une société à capitaux mixtes qui a bénéficié d’un crédit bancaire. Après la rupture légale de ce partenariat pour des raisons détaillées par voie de la presse et à diverses reprises par le président du groupe, le groupe Amor Benamor a supporté la valeur du crédit bancaire et a enregistré des pertes fatales.»
«Le groupe Amor Benamor par ses valeurs, ses principes saints et ses traditions d’honnêteté reconnues, est profondément indigné par cette campagne de dénigrement, orchestrée pour nuire à la réputation des hommes d’affaires productifs, dont le patriotisme n’a jamais été pris à défaut», lit-on dans le même communiqué.
«Il reviendra à la justice de faire la vérité sur les desseins obscurs qui motivent cette chaîne de télévision, les journalistes qu’elle emploie et la galaxie de nuisibles qui gravite autour», conclut la même source.