« Le MPA réitère sa décision de principe, à savoir que c’est son conseil national qui déterminera au moment opportun et de manière définitive la position du parti vis-à-vis de cette élection », a indiqué un communique du MPA, portant ainsi, le parti de Amara Benyounes, sur une position qui se démarque des partis de la majorité.
Partant du principe qu’aucun soutien ne peut être effectif, sans connaitre les intentions du président Bouteflika, pour l’élection présidentielle d’avril, le MPA reste sur ses positions, « personne ne doit obliger un citoyen à se porter candidat, et personne ne peut empêcher un candidat de se présenter, en dehors du conseil constitutionnel, seul habilité à se prononcer sur la validité des candidatures » précise le communiqué.
Dans ce sens, le MPA n’est pas le seul parti à observer un temps mort, pour montrer la couleur de ses ambitions politiques. Les principaux acteurs de la scène politique, en l’occurrence, les partis de l’opposition, le PT ou encore le RND, demeurent dans le « wait and see », et préfèrent se garder l’opportunité de voir plus clair dans cet échiquier électoral, auquel manque une pièce déterminante ; la position de Bouteflika