Les contrats de recherche et d’exploitation conclus entre l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT) et la compagnie nationale Sonatrach ont permis la réalisation de 33 découverte au cours de l’année 2017.
C’est ce qui a été confirmé aujourd’hui par le président d’ALNAFT Azezki Hocini, lors de lancement de la 8eme édition de salon professionnel international de l’industrie pétrolière et gazière en Afrique du Nord (NAPEC) à Oran. Ces découvertes rentrent dans la « nouvelle dynamique insufflée tant au niveau du fonctionnement interne, qu’au niveau des actions mises en œuvre pour accroissement des activités dans l’amont pétrolier » a expliqué M Hocini.
Cette dynamique est imposée par le contexte économique caractérisé par les mutations que subit l’industrie pétrolière sur le plan national et international a encore argumenté le président d’ALNAFT.
Ainsi, cette dynamique a donnée des résultats très satisfaisant, à l’instar de la signature de 5 contrats de recherche et de d’exploitations avec la Sonatrach. Ajoutant à cela la signature de de deux contrats d’exploitation des hydrocarbures l’un avec Total et CEPSA pour la production de 5MM3 de gaz par jour et un autre avec SEPSA pour une production de 24000bbl/j d’huile et 10 000bbl/j de GPL. En outre de la conclusion de trois avenants pour permettre la continuité des contrats de recherche et d’exploitation. Selon, M Hocini, cinq plans de développement ont été approuvé par l’Agence, dont trois nouveaux et deux révisés pour un investissement de 850 millions de dollars.
S’agissant de secteur minier, le président de ALNAFT, a indiqué que son agence a réalisé des efforts importants pour améliorer l’attractivité du secteur minier pour la mise en œuvre des mesures incitatives, accordées par les dispositions légales en vigueur. Dans ce sens, il a cité, la prospection dans les zones frontalières, l’exploration des horizons profonds sur les bassins matures ainsi que dans l’offshore algérien.
Par ailleurs, Hocini a précisé que plusieurs études ont été lancées, pour l’évaluation du potentiel gazier et pétrolier des différents bassins et gisement du domaine minier national notamment ceux situés au nord, au Sud-Est et Sud-Ouest de pays. A ce propos, il a souligné que ces études, dont deux ont déjà démarrées, « portent aussi bien sur les hydrocarbures conventionnels que non conventionnels, à savoir une étude sur l’évaluation des potentielles pétrolières et associé aux niveaux roches mères, et aux réservoirs compacte des bassins sahariens. Alors que l’autre pour l’évaluation du potentiel en hydrocarbures du bassin du hodna situé dans la partie nord-est de l’Algérie.
