Les cadres de l’Enterprise portuaire d’Alger (EPAL) on bénéficié d’une formation sur le contrôle budgétaire qui a démarré le 03 décembre 2017 au siège de la Direction Générale de l’Entreprise. Cette action menée en collaboration avec la SNTR, formation filiale de Logitrans, s’inscrit, selon l’EPAL, dans le programme de la formation annuel destiné à développer davantage les capacités managériales des cadres de l’entreprise.
« Durant trois (03) jours, l’ensemble des cadres chargés du budget au niveau de toutes les directions de l’entreprise, suivront cette formation animée par un spécialiste en la matière, en l’occurrence Mr Gherbi Rabah. Elle vise à vulgariser les différents aspects du budget de l’entreprise », indique l’EPAL.
Le programme de cette formation comprenait plusieurs axes. Il s’agit de savoir comment animer le processus budgétaire, élaboration du budget commercial et de production.
Il a été question également sur les autres budgets (frais généraux, frais de personnel et les investissements), l’organisation de la synthèse budgétaire et la modélisation, mesurer et analyser les écarts budgétaires et enfin le suivi des indicateurs directement opérationnels.
Par cette initiative l’EPAL veut renforcer le développement des ressources humaines. Partant de cela, le passage vers une performance dynamique exige le respect des grands principes fondamentaux des pratiques d’excellence de gestion, selon les responsables de l’entreprise. Et pour réussir un tel passage, (le port est une entreprisse qui doit se soumettre à des performances) il faut, selon eux, « Opter pour une démarche contractuelle par objectifs qui se résume à avoir une vision stratégique qui doit se décliner en objectifs opérationnels, et être réalisés dans les règles de l’art».
Étant donné que les résultats financiers et comptables ne suffisent pas pour qu’une entreprise soit performante, les experts appellent à l’exploration d’autres facteurs liés à la question. Il s’agit de la pérennité (rentabilité), l’efficience économique (efficacité et production), la valorisation des ressources humaines (formation et motivation) et la légitimité (respect de l’environnement, développement durable et retour d’investissement sur l’état et la population).