Le nouveau code des douanes en débat
Les cadres de l’inspection des douanes de la wilaya d’Oum-El-Bouaghi se sont penchés, en ce début de semaine, sur l’explication et la mise en œuvre des nouvelles dispositions du code de la douane, écrit le Soir d’Algérie.
C’est la grande salle de conférences de la Maison de la culture Nouar-Boubakeur, du chef-lieu de wilaya qui a abrité les travaux de la journée d’information organisée conjointement par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Sidi R’ghis et à laquelle ont assisté bon nombre d’investisseurs et d’importateurs ainsi que des journalistes de différents organes de presse.
La journée a été entamée par une allocution de M. Hamel N., directeur de la CCI, qui a mis en exergue l’importance de ces textes qui viennent apporter de nouveaux avantages aux différents opérateurs économiques nationaux. M. Daoudi B., inspecteur divisionnaire des douanes d’Oum-El-Bouaghi a, à son tour, développé le contenu des nouvelles dispositions régissant le nouveau code des douanes.
Selon le quotidien, ce nouveau code de la douane comporte beaucoup de nouveautés allant dans le sens d’allègement et d’amélioration des conditions de travail et renforce davantage les relations entre les différents opérateurs économiques et les services des douanes, des textes qui s’accommodent avec les conventions internationales. Ces nouvelles dispositions confirment aussi l’importance des activités des déclarants en douane et les transitaires, elles permettent aussi aux investisseurs et différents opérateurs d’être fortement accompagnés pour réussir leurs créneaux, car elles offrent des facilitations et rapidités en éliminant plusieurs procédures administratives gagnant ainsi énormément de temps.
La Banque mondiale félicite l’Algérie pour ses réalisations sociales
La délégation (de la Banque mondiale) a félicité le gouvernement (algérien) pour ses réalisations sociales, y compris les mesures importantes prises pour améliorer le bien-être de la population, éliminer les bidonvilles et réduire la pauvreté de façon plus générale», a indiqué l’institution de Bretton Woods dans un communiqué publié hier et reprit par La Tribune. Signalons que la délégation de la Banque mondiale (BM) a effectué récemment une visite en Algérie, et ce, afin d’avoir une meilleure idée de la dynamique actuelle, évaluer les interventions de la BM sur le terrain et réitérer son soutien à l’ambitieux nouveau modèle économique algérien, selon le même communiqué qui cite le porte-parole de cette délégation, Merza Hassan. Selon M. Hassan, la Banque mondiale suit de près la mise en œuvre par l’Algérie de son nouveau programme Vision 2035 «car il pourrait servir de modèle à plusieurs pays que nous représentons», a-t-il expliqué. Il s’agit aussi de «mieux comprendre le contexte et les priorités de développement du pays et d’évaluer la qualité du partenariat entre l’Algérie et la Banque mondiale et du potentiel de renforcer ce soutien», poursuit le journal.
Les entreprises du BTPH, bénéficient d’un échéancier pour le paiement de leurs arriérés
El Moudjahid nous apprend ce matin que les entreprises activant dans le domaine du BTPH, confrontées à des problèmes financiers en raison de la baisse de la commande publique, ont bénéficié d’un échéancier pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et des cotisations sociales, ainsi que de l’annulation des pénalités de retard des projets, selon les propos du vice-président de l’Association nationale des sociétés algériennes (ANSA), Nabil Hedjazi. «Une instruction a été donnée par la Premier ministre au ministre des Finances et celui du Travail, permettant l’établissement d’un échéancier en faveur des entreprises activant dans le domaine du BTPH pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et ceux des cotisations de la sécurité sociale», a affirmé M. Hedjazi sur les ondes de la radio nationale. M. Hedjazi a souligné que la décision avait été prise, à l’issue d’une rencontre entre les représentants de ces entreprises avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, tenue le 26 avril dernier, durant laquelle une liste de propositions a été remise aux pouvoirs publics pour prendre en charges les problèmes et les préoccupations des opérateurs dans ce domaine, conclut El Moudjahid.
L’enseigne Wal-Mart à la poursuite d’Amazon
Wal-Mart, numéro un mondial de la distribution, se retrouve de plus en plus sous la pression d’Amazon et déploie tout un arsenal d’initiatives pour refaire son retard dans le commerce en ligne, écrit Boursorama. Fondé en 1962 par Sam Walton, le groupe de Bentonville (Arkansas) représente de par sa taille et son maillage territorial un bastion de la distribution classique, de plus en plus assiégé par les vendeurs en ligne.
Ses résultats et les progrès de ses ventes générées dans le commerce en ligne vont donc retenir l’attention des marchés lorsqu’il va présenter ses résultats trimestriels le 18 mai.
Selon le site économique boursorma, un peu plus de la moitié des achats de biens en ligne réalisés aux Etats-Unis vont aujourd’hui dans les comptes d’Amazon.
« Amazon a réussi à s’inviter dans notre quotidien: on utilise Kindle pour lire, Prime pour regarder la télé. Ce n’est le cas ni de Wal-Mart, ni de Macy’s, ni de Gap », résume Krista Fabregas, analyste auprès du site spécialisé FitSmallBusiness.com.
Loin de jeter l’éponge, le PDG de Wal-Mart Doug McMillon a décidé de mettre les moyens, en commençant par l’achat en août dernier pour 3,3 milliards de dollars, de Jet.com, dont le fondateur Marc Lore, un ancien d’Amazon, pilote désormais l’offensive de l’enseigne.