Dans le cadre du partenariat lancé par Sonatrach avec les universités et centres de recherches, l’université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene (USTHB) explique le vrai contenu de la convention signée entre les deux parties.
La coopération vise, selon l’USTHB, la conduite d’actions conjointes et concertées notamment en matière de direction des travaux de recherche scientifique et du développement technologique, prise en charge des étudiants de l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene dans le cadre des activités pédagogiques telles que stages ou parrainages, dans le domaine qui intéresse Sonatrach et participation de la Sonatrach à l’élaboration des programmes de formation et de recherche présentant un intérêt commun. Elle vise aussi l’accueil d’enseignants-chercheurs, chercheurs ou de doctorants, pour développer des pratiques pédagogiques innovantes, dans l’enseignement supérieur dans le domaine qui intéresse Sonatrach, la constitution d’équipes mixtes de chercheurs autour de projets communs, des études de modification, d’intégration, d’adaptation et de modernisation des systèmes, des études, conception et réalisation de produits nécessaires à la mise en œuvre des projets de recherche scientifique et de développement technologique, la maintenance et réparation des systèmes en dotation, la formations spécifiques en rapport avec les projets et programmes qui seront initiés en commun, de formations de post-graduation spécialisée ainsi que de stages de courte durée et la contribution aux actions d’encadrement du personnel stagiaire des deux Parties dans le cadre des formations initiées.
L’objectif étant également la réalisation des essais et des analyses de produits au niveau des laboratoires des deux parties dans le domaine de l’énergie, chimie, géologie, physique, … etc, des séjours en laboratoires du personnel des Parties, un détachement des spécialistes des Parties pour dispenser des cours en stages bloqués de courtes durées se rapportant aux projets ou programmes d’intérêt commun, l’organisation de séminaires et rencontres scientifiques ou pédagogiques en relation avec les domaines d’intérêt commun.
Les domaines de recherche visés, selon la même source, concernant le réservoir engineering et l’EOR, la modélisation et la simulation numérique appliquées, la métallurgie et la corrosion, la synthèse des formulations (additifs, catalyseurs…), le flow assurance, la maîtrise technologique et l’environnement et les applications de l’énergie renouvelable.