«L’ouverture du capital d’un certain nombre de banques publiques est aujourd’hui incontournable pour essayer de combler le déficit financier et la dette publique interne qui « est extrêmement importante puisqu’elle représente, fin 2020, 57.2 % du PIB, soit 8 700 milliards de dinars ». c’est ce qu’a affirmé aujourd’hui Ali Mebroukine, Professeur en droit des affaires.
Intervenant sur la radio chaine 3, il a estimé que cela va permettre à l’Etat algérien de se désendetter et rétablir, ainsi, les équilibres macroéconomiques avant d’engager des réformes de structure réclamées depuis plus de 20ans, différées pour des raisons politiques sociales et idéologiques.
Le Professeur Ali Mebroukine, affirme que « pour développer notre économie nos banques doivent assurer l’intermédiation financière», ajoutant que ces dernières doivent prendre plus de risques en s’engageant à financer l’investissement.