Lancement de l’initiative Boost Africa : Des PME et 1 500 jeunes vont bénéficier du projet
Stimuler le potentiel entrepreneurial des jeunes africains et les amener à créer des entreprises performantes et innovantes, à même de relever les défis de la concurrence régionale et mondiale, d’attirer des investissements directs nationaux et étrangers, de créer de nouveaux emplois de qualité et de contribuer à une croissance économique durable et inclusive. Tels sont les objectifs principaux de l’initiative Boost Africa, une nouvelle approche intégrée visant à stimuler les jeunes entrepreneurs innovants sur tout le continent africain, écrit Reporters ce matin. Lancée le 21 de ce mois à Abidjan, en Côte d’Ivoire, par la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Banque africaine de développement (BAD), en partenariat avec la Commission européenne, l’initiative contribuera à renforcer l’essor, en Afrique, d’un écosystème d’entreprises efficaces en soutenant, de façon durable, les étapes les plus précoces et les plus risquées de la chaîne de valeur entrepreneuriale, précise le journal algérien.
Algérie : 2 000 personnes attendues au premier Forum africain d’investissements et d’affaires
Jeune Afrique revient en détails sur les préparatifs du forum africain d’affaires qu’abritera Alger au début du mois prochain. « L’Algérie qui a joué un rôle majeur pour les indépendances africaines, qui a amplement participé à sa stabilisation en s’impliquant positivement dans de nombreux conflits sur le continent, doit maintenant faire fructifier sa vision du co-développement dans le domaine économique », explique Brahim Benabdeslem dans l’ambiance feutrée du Fouquet ‘s, sur les Champs-Elysées parisiens, peut-on lire dans la magazine panafricain édité à Paris. Avec Mehdi Bendimerad, tous deux vice-présidents du Forum des chefs d’entreprises (FCE), importante confédération patronale algérienne, ils étaient le 23 novembre dans la capitale française pour y présenter à la presse mais aussi aux partenaires français de l’Algérie le Forum africain d’investissements et d’affaires qui se tiendra à Alger du 3 au 5 décembre prochain.
Grèves : les syndicats ont-ils échoué ?
La deuxième «vague» de la grève cyclique engagée par les travailleurs de la Fonction publique s’est terminée sur une note pas très encourageante pour les 13 syndicats autonomes à l’origine de cette action de protestation contre la suppression du principe de la retraite sans condition d’âge, écrit l’Expression ce matin. Même si les promoteurs du débrayage parlent d’un taux de suivi au-dessus des 50% en moyenne, il est clair, cependant, que le mouvement n’a pas du tout convaincu les travailleurs qui lui ont tourné majoritairement le dos. Ainsi, poursuit le quotidien, les enseignants et les médecins du secteur public qui s’étaient «illustrés» lors de la première grève, jusqu’à paralyser partiellement leurs secteurs respectifs, n’ont pas réussi à rééditer l’exploit. Pourtant, l’objectif des syndicalistes était de gagner d’autres pans de l’administration et de s’imposer comme interlocuteur incontournable des pouvoirs publics.
Cybercriminalité : un enjeu de développement économique
« La cybercriminalité au Service du développement économique et des infrastructures critiques », tel est le thème qui a été choisi, cette année pour la 5e édition du Symposium International sur la Cybercriminalité, nous apprend El Moudjahid ce matin. Organisé par World Trade Center Algiers, cette rencontre socio-économique vise à faire partager par les différents participants des informations sur des domaines ayant trait à l’édifice réglementaire mis en place pour prévenir et combattre toute dérive en la matière, ainsi qu’aux techniques d’investigation dans la perspective d’informer et sensibiliser les entreprises et les institutions sur les dangers de la cybercriminalité. Programmé sur deux jours, au centre international des conférences, Club des Pins, ce symposium d’envergure internationale réuni autour d’un intérêt commun, tous les acteurs concernés par ce phénomène et ce, dans la perspective de cerner les appréhensions des uns et des autres autour de la question de la cybersécurité afin de permettre une bonne compréhension de l’aspect légal et technique de la cybercriminalité et la cybersécurité, conclut le journal public.