Mühlenchemie, le leader mondial pour la correction de la farine, et son représentant en Algérie, Alzyme ont organisé le premier séminaire maghrébin sur «La maîtrise de la farine : pour tous les moulins de la Terre », ce lundi au Sheraton Club des Pins. Y étaient présents les biscuitiers, les pattiers, les meuniers, les semouliers, mais aussi les organismes étatiques, notamment l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC). Une aubaine pour ces derniers pour profit d’un cadre d’échanges et de transfert de technicité et de savoir-faire. Pour cela, « des intervenants de France, nos partenaires, impliqués dans le suivi de la qualité du blé et de la farine, participaient avec des communications riches et variées. », selon Fabien Varagnac, responsable technico commercial de la Zone région francophone, « de la France au Gabon. », comme il tient à le préciser. Parlant des motivations du séminaire, il dira que, « la première est liée au fait que nous sommes présents en Algérie depuis 15 ans ; nous considérons ce pays comme un marché historique. Deuxièmement, la qualité de la farine devait être conforme non pas seulement aux aspects de santé, mais à ceux d’ordre technologique et économique. Et en troisième lieu, les impératifs d’un marché en pleine mutation exigerait des pays africains et globalement ceux de la Zone francophone, soit 21 pays, d’être compétitifs. ».
Dans un contexte mondial caractérisé par « la fluctuation de la qualité des matières premières, par une disponibilité limitée et par une volatilité des prix. », Muhlenchemie a, semble-t-il, trouvé la parade au profit des fabricants de pates, notamment, en leur « proposant une solution économique extrêmement intéressante, à base d’enzyme, dont l’améliorant Patazym, visant à optimiser leur processus de transformation de façon ciblée. »
