Le ministre d’État, ministre de l’Énergie, des Mines et des Énergies renouvelables, Mohamed Arkab, a reçu mardi 2 septembre 2025, au siège de son département, le vice-président de la compagnie américaine Halliburton pour l’Afrique du Nord, Ahmed Helmi. La rencontre s’est déroulée en présence de cadres du ministère et du représentant de l’entreprise en Algérie.
Selon un communiqué du ministère, les discussions ont porté sur « l’état des relations de coopération et de partenariat entre Sonatrach et Halliburton dans le secteur des hydrocarbures, ainsi que les perspectives de leur développement futur ». Les deux parties ont également examiné les opportunités dans « l’exploration et le développement des gisements de pétrole et de gaz, les services pétroliers, les solutions numériques et les technologies modernes, ainsi que la formation des ressources humaines ».
M. Arkab a souligné « l’importance de consolider la coopération avec Halliburton, compte tenu de ses relations historiques avec Sonatrach », en insistant sur « le rôle des solutions numériques pour une meilleure exploitation des ressources nationales et la garantie de leur durabilité ». Il a également appelé à « développer les gisements et à augmenter les niveaux de production », tout en mettant en avant « la promotion du contenu local et la valorisation des compétences nationales ».
Le ministre a, par ailleurs, réaffirmé le soutien de son département « à l’expansion des activités de Halliburton en Algérie », en rappelant l’importance de « diversifier le mix énergétique et d’accroître la part des énergies renouvelables ».
De son côté, Ahmed Helmi a exprimé « l’engagement de Halliburton à renforcer sa présence en Algérie », saluant « les évolutions positives du secteur de l’énergie dans le cadre des réformes visant à améliorer le climat de l’investissement ». Il a réitéré la volonté de l’entreprise de « fournir les technologies les plus avancées, contribuer à la promotion du contenu local et soutenir les efforts de formation et de développement des compétences », tout en œuvrant à la mise en place de « partenariats bénéfiques pour les deux parties ».
