Le Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha Pacha à Alger s’est vu renforcé par de nouveaux services médicaux, inaugurés et mis en service, samedi, par le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi.
Lors de sa visite au CHU, qui a été l’occasion de suivre le déroulement des activités et de s’enquérir des prestations et services médicaux prodigués au sein de l’hôpital, le ministre a procédé à l’inauguration du Service d’imagerie médicale et de radiologie après sa rénovation complète et son équipement en matériel moderne fonctionnant grâce à l’intelligence artificielle.
Ce Service dispose désormais, entre autres, de trois scanners, d’un appareil de radiographie, de trois échographes et de deux appareils d’imagerie par résonance magnétique (IRM).
Saihi a également inauguré l’Unité d’endoscopie du service de pneumologie, dotée d’équipements médicaux modernes, ainsi que le Service de gynécologie-obstétrique, qui a bénéficié de l’aménagement de toutes ses unités.
Il a, en outre, inauguré le Service des urgences chirurgicales, rénové et doté d’équipements de pointe numériques, afin d’améliorer la prise en charge des patients.
A cette occasion, le ministre a souligné que ces réalisations constituent « un bond qualitatif » en matière de développement de la formation médicale, mettant en avant les efforts de l’Etat pour améliorer le niveau des prestations sanitaires et assurer une prise en charge optimale des patients, en allouant les enveloppes et les affectations financières nécessaires à cet effet.
Les efforts de l’Etat visant à garantir une meilleure prise en charge des patients concernent l’ensemble des établissements de santé à travers le territoire national, en les dotant « des équipements médicaux nécessaires, conformes aux avancées scientifiques et technologiques mondiales », a assuré le ministre, selon l’agence APS.
Saihi a précisé que cette opération « s’inscrit dans le cadre du processus de modernisation du secteur de la santé, qui connaît un développement notable à tous les niveaux de ses établissements et structures », soulignant que cette évolution aura « un impact positif sur la prise en charge des patients ».
