Le consultant et expert en géoéconomie, Abderrahmane Hadef, a indiqué aujourd’hui, que la rencontre régulière du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, avec la presse nationale, hier soir, portait la vision du président pour la nouvelle phase et les perspectives d’un projet de société pour l’Algérie, qui aspire devenir l’un des pays émergents à l’horizon 2030.
Lors de son intervention à la radio chaine 1, le Professeur Hadef a confirmé, que les réponses du Président de la République ont révélé une vision porteuse d’espoir, pour la concrétisation de ce projet, qui est venu pour améliorer le cadre de vie du citoyen et le placer au centre de l’attention de du travail gouvernemental, construire une économie forte et renforcer la position de l’Algérie sur la scène internationale, lui permettant d’être efficace dans son action régionale et internationale.
Il a ajouté que le Président de la République a renouvelé lors de cette rencontre sa détermination à aller de l’avant dans la concrétisation des réformes, notamment celles d’ordre structurel, qui ont été initiées sur les plans économique et social, notamment « en étant soucieux de valoriser les acquis sociaux, de répondre aux besoins quotidiens des citoyens et fournir tous les services nécessaires tels que le transport, la santé et l’éducation, y compris l’amélioration du pouvoir d’achat.
En outre, le conseiller en développement économique a parlé de la position du secteur agricole dans cette nouvelle vision de l’économie nationale en travaillant pour atteindre des niveaux significatifs dans le domaine de l’autosuffisance de certaines personnes, comme les céréales et la viande, en disant : « Il y a des perspectives d’investissements importants attendus dans ce domaine au cours des années à venir ».
Concernant le secteur des services, M. Hadef estime que le Président de la République continue de faire progresser le secteur de la numérisation, qui doit atteindre 5% du produit intérieur brut à l’heure où le taux mondial de l’économie numérique a atteint 15%, alors que ce pourcentage a dépassé les 40% dans l’économie chinoise.