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Les secteurs de la diplomatie et de la Culture, au service de la relance économique

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Engagée à une vitesse supérieure, le relance de l’économie nationale s’élargit à des ouvertures nouvelles, qui ne manqueront pas d’impacter le rythme de départ, et de consolider les chances d’entrevoir d’autres horizons, en matière de développement et d’investissement.

Dans ce sens, la diplomatie économique entre de plain pied dans le renouveau économique, et entame avec efficience son déploiement, qui dans un premier temps s’attelle à mettre en place un réseau de représentations économiques à travers les missions consulaires, mais aussi à travers l’ouverture d’un bureau d’information qui se chargera d’accueillir les opérateurs économiques, et de les accompagner à mieux connaître les marchés étrangers, et définir les opportunités de coopération.

D’autre part, l’implication du département des AE dans la relance économique, impose une coordination sans failles entre les différents secteurs qui interviennent dans cette tâche, en l’occurrence, celui des transports, de l’agriculture, des finances et de la logistique. Une jonction qui pourrait générer une synergie nouvelle entièrement dédiée à déverrouiller les nœuds qui entravent l’acte d’investir, et d’exporter. C’est ce qui devrait créer un déclic, et renforcer la présence des produits algériens, sur les étalages internationaux.

Il faut dire, que cette nouvelle orientation économique contribuera d’une façon chirurgicale sur l’accélération du processus de relance, du fait qu’elle interviendra à protéger la production nationale, et l’amélioration de la qualité des produits, dans l’optique de  gagner en compétitivité, et de développer le principe d’intégration. Autrement dit, plus les produits algériens seront mieux cotés sur les marchés étrangers, plus les producteurs soigneront leurs productions et s’imposeront des normes draconiennes pour constamment améliorer leurs produits.

Par ailleurs, sur la même optique de relance économique, le secteur de la Culture prend le train en marche, et marque une volonté incontestable de participer au redressement économique du pays, et ce à travers son récent événement, en l’occurrence, le forum de l’économie culturelle, qui vient de clore ses travaux. Celui-ci était précédé par des annonces importantes en matière d’ouverture pour les producteurs culturels, les exhortant à s’engager dans l’investissement culturel, sous couvert d’une nouvelle stratégie, accompagnée de mesures de facilitations à même de bannir l’isolement dans lequel sombrait cette activité, et l’élaboration de cahiers de charges relatives à l’exploitation des espaces archéologiques, des salles de cinéma , et des théâtres. Une tache qui nécessite une coordination certaine entre plusieurs secteurs, pour accompagner efficacement les porteurs de projets à réaliser leur investissement, et renouer avec la production culturelle.

A cet effet, il est nécessaire, aux yeux des observateurs, de procéder à une reconsidération du statut de l’artiste et du producteur culturel, afin que l’action économique escomptée et soutenue par les nouvelles mesures, trouve son chemin vers un impact certain sur l’économie nationale. C’est dans cette considération que cette grande ouverture du secteur culturel vers l’économie, finira par assoir des mécanismes durables pour faire de l’investissement culturel une valeur stable de l’économie nationale.

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