Deux semaines se sont écoulées après le premier anniversaire du Hirak, et les Algériens ont de nouveau battu le pavé dans la capitale pour exprimer leur rejet de la classe politique et pour réclamer un véritable changement.
12h35#الجزائر#الحراك_55#ثورة_22_فيفري #الجمعة_55#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_55#Revolution_22_fevrier pic.twitter.com/cz3KE7AZov
— Khaled Drareni (@khaleddrareni) March 6, 2020
Les manifestants de ce 55e vendredi consécutif, à Alger, ont scandé les slogans habituels contre le pouvoir en place : « un Etat civil et non militaire », «les généraux à la poubelle».
https://twitter.com/epsilonov71/status/1235913885619757058
Ces derniers temps, les manifestants ont adopté leurs slogans à l’actualité, marquée par l’apparition du coronavirus venu de Chine. Les manifestants craignaient une récupération de cette épidémie par le pouvoir en place pour interdire les marches à Alger.
Un peu plus d’un an après du déclenchement du mouvement de protestation populaire contre l’ancien président déchu, Abdelaziz Bouteflika qui briguait un cinquième mandat, les manifestants n’ont pas perdu de vue leurs revendications initiales, notamment un changement du paradigme politique et l’avènement d’un Etat civil et démocratique.
#متظاهرون في شارع #فيكتور_هيجو يتجهون نحو #البريد_المركزي
رفع رايات تحمل صور #ابراهيم_لعلامي و #كريم_طابو#الجزائر #العاصمة #الحراك_الشعبي #الجمعة_55#algérie #Algeria #manifestations #Pacific #Hirak #Justice #liberté #ibrahim_lalami ##karim_tabou pic.twitter.com/2zsV8CVNhI— Mstapha Bastami مصطفى بسطامي (@musbastami) March 6, 2020