A une semaine du premier anniversaire du Hirak, les Algériens ont de nouveau battu le pavé dans la capitale pour exprimer leur rejet de la classe politique et pour réclamer un véritable changement politique.
Les premiers manifestants de ce 52e vendredi consécutif du Hirak, à Alger, ont scandé les slogans habituels contre le pouvoir en place : « un Etat civil et non militaire », ou encore « Tebboune mzaouer, djabouh al askar !» (Tebboune est venu par la fraude avec l’aide des militaires).
14/2/20 11h45
مسيرة الصباح وسط الجزائر
Marche du matin au centre d’Alger #الجزائر#الحراك_52#ثورة_22_فيفري #الجمعة_52#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_52#Revolution_22_fevrier pic.twitter.com/btoU0RVZOO— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 14, 2020
Près d’un an après le début de la contestation populaire contre le cinquième mandat de l’ancien président déchu, les manifestants n’ont pas perdu de vue leurs revendications initiales, notamment un changement du paradigme politique et l’avènement d’un Etat civil et démocratique.
بداية الاعتقالات بشارع فيكتور هيجو وسط الجزائر
Début des interpellations au boulevard Victor Hugo au centre d’Alger #الجزائر#الحراك_52#ثورة_22_فيفري #الجمعة_52#Hirak#Alger#Algerie#Vendredi_52#Revolution_22_fevrier— Khaled Drareni (@khaleddrareni) February 14, 2020