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Bengrina accuse les partisans de la transition d’être « les alliés de la bande »

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Le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelkader Bengrina, a attaqué une partie des partisans de la période de transition, les accusant d’être « les alliés de la bande » qui étaient à bord des chars dans les années 1990 et qu’il avaient planifié de prolonger le mandat de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika en 2018, s’attaquent aujourd’hui ceux qui croient que les élections sont la solution pour sortir de la crise que traverse le pays.

Depuis Relizane où il a animé un meeting pour le compte du cinquième jour de la campagne électorale pour la présidentielle, ces gens-là qui ont perdu leurs privilèges, étaient sur le point de prendre les armes le mois dernier pour les défendre.

Pour le candidat du parti El Bina, les Algériens ont le droit d’avoir des opinions différentes au sujet des élections. « Les alliés secrets ou connus de la bande, qui avaient planifié la continuité de Bouteflika en 2018, n’ont pas le droit de surfer sur ‘le hirak’ et toucher à la stabilité du pays », a-t-il dit.

L’identité arabo-islamique du peuple algérien

Selon lui « aujourd’hui, les masques sont tombés et le plan qui ciblait l’identité a été révélé », ajoutant qu' »après que le mouvement ait libéré la population et l’identification de la bande,  les opposants au projet novembriste et à l’identité de la nation algérienne ont voulu embarquer dans le train alors qu’ils étaient des alliés secrets ou connus de la bande ».
Bengrina a estimé que tous les défenseurs de la transition ne sont pas à mettre dans le même sac, mais uniquement une partie sans qu’il précise de qui s’agit-il. « En accord avec le chef de la bande et le colonisateur français, ils ont voulu tisser une constitution qui n’arrange pas les intérêts de l’Algérie », a-t-il ainsi accusé.

« Ils recevaient financement et soutien de ceux qui sont actuellement à la prison d’El Harrach (…) », a-t-il dit, ajoutant que « s’ils ne s’arrêtent pas je révélerai leurs identités ».

Selon lui, la bataille est devenue évidente : « il s’agit de toucher au préambule de la Constitution et l’identité arabo-islamique du peuple algérien », a-t-il dit.

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