L’écrivain et chroniqueur Algérien, Kamel Daoud, a réagi, ce lundi, à une rumeur sur sa condamnation, par le tribunal d’Oran, à trois mois de prison avec sursis et une amende de 20 000 DA pour violence conjugale.
Dans un tweet, le célèbre écrivain a en effet affirmé qu’il est victime de « propos diffamatoires » ciblant sa personne et sa famille, relayés sur les réseaux sociaux et portés par un journal électronique. L’auteur de Zabor a indiqué qu’il allait déposer une plainte aujourd’hui.
Des propos diffamatoires ciblés sur ma personne circulent sur les réseaux sociaux, portés par un journal électronique. Une plainte sera déposée demain.
— Kamel DAOUD (@daoud_kamel) October 20, 2019
Dimanche soir, un site électronique, jugement du tribunal d’Oran à l’appui, a rapporté que l’écrivain a été condamné à trois mois de prison avec sursis et une amende de 20 000 DA, pour violence conjugale. Le site en question a ainsi titré « Kamel Daoud condamné par le tribunal d’Oran: il devient ‘l’auteur’ de la violence conjugale ». Le même site affirme enfin que, l’écrivain a été condamné « pour coups et blessures volontaires (CBV) et usage d’arme prohibée à l’égard de la dénommée L.H.N, son épouse. »