La rentrée à la capitale les vendredis est devenue un cauchemar pour les automobilistes qui se rendent à Alger et qui doivent patienter plusieurs dizaines de minutes pour passer les barrages de la gendarmerie.
A l’entrée Est de la capitale, plusieurs barrages de gendarmerie supplémentaires sont installés sur les routes qui mènent à Alger ce vendredi. Mais le plus important bouchant est constaté au niveau de l’entre de Dar EL Beida ou une file de plusieurs kilomètres est constituée par les voitures qui attendant impatiemment le passage du barrage de la gendarmerie.
Sous les températures caniculaires, les automobilistes se font filtrer un par un à la recherche des probables manifestants qui viennent à la marche de vendredi à Alger, rendant l’accès à Alger un cauchemar pour tous les routiers.
Pour rappel, ces pratiques ont été dénoncées par l’instance de dialogue et d’intermédiation a inclus le préalable d’enlever les fermetures d’accès à la capitale dans ses exigences de dialogue. Des préalables que l’Etat prend encore du temps pour répondre aux exigences de l’instance de dialogue.