Les président des deux chambres du parlement, ont exprimé aujourd’hui leurs grand soutient aux efforts du Président de la République dans sa lutte contre la corruption.
Dans leurs discours respectifs tenu lors de la cérémonie de clôture de la session du parlement, le président de l’assemblée nationale (APN), Said Bouhadja et son homologue du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah ont exprimé leur soutien total à la lutte contre la corruption qui est menée par l’Etat à sa tête le Président de la République Abdelaziz Bouteflika.
M Bouahadja a indiqué dans sa parole de clôture de la session qu’il « enregistre avec satisfaction cette poursuite de lutte contre la corruption avec toutes ses formes ainsi que la lutte contre les crimes organisé et cela avec toute les forces de la loi ».
Le Président de l’APN a indiqué que « cette volonté politique que possède le Président de la République n’exprime pas seulement la tenue de l’Etat à son rôle de protection de ses droits et veille à la lutte contre toutes les dérives, comme corruption, détournement, fraude, drogue et blanchiment d’argent , mais elle exprime aussi l’un des principes du Président de la République qui consiste à l’écoute de l’opinion nationale et de réagir avec ses préoccupations ». Selon Bouhadja les dernières décisions portant sur la protection des propriétés publiques en est l’exemple sur cette volonté.
De sa part le Président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah s’est exprimé sur le sujet en indiquant que « concernant l’affaire de corruption, tout le monde sais que le Président de la République depuis qu’il a pris le pouvoir a été et demeure clair concernant ce sujet. Par conséquence et « en cette période, le devoir nous oblige à être à ses cotés, et soutenir toutes ses démarches qui visent à éradiquer ce fléau ». Toutefois, Bensalah a signalé la nécessité de ne pas s’introduire dans les affaires de la justice.
S’exprimant sur les défis et les menaces auxquelles elle fait face l’Algérie, Benssalha a indiqué que « le devoir nous oblige à rétablir les priorités et orienté les débats politiques vers le bon intérêt du pays et faire face à tous les défis et menaces qui touchent à la stabilité du pays ». Le Président du Conseil de la nation a souligné aussi que « chaque Etat à ses lignes rouges», et « l’Algérie possède ses constantes et institutions et symboles comme des lignes rouges qu’il ne faut pas toucher ni dépasser ».