Le Ministère de l’énergie a décidé de nouvelles mesures concernant les véhicules de tourisme acquis par les citoyens de la communauté algérienne établie à l’étranger par le moyen de la carte consulaire, pour les faire entrer en Algérie.
Ainsi, les citoyens désireux de faire entrer des véhicules neufs en Algérie pour les laisser sur terrotire national, devront acquérir des voitures fabriquées durant la même année de leur entrée en Algérie.
En effet, les nouvelles mesures ont été communiquées, ce samedi 12 mai 2018 sur sa page Faebook, par le député chargé de la communauté algérienne à l’étranger Noureddine Belmeddah.
Le député, après avoir rappelé au citoyens de la communauté algérienne établie à l’étranger, que les véhicules neufs acheminés par eux en Algérie, par le moyen de la carte consulaire, et qui étaient exonérés des taxes douanières, et dont l’exigence était que ces voitures devront afficher au compteur une distance de seulement quelques kilomètres de marche, et l’année de fabrication n’était pas prise en considération.
Il a fait savoir qu’«une nouvelle loi émanant du Ministère de l’énergie et des mines, exige que ces véhicules soient fabriqués la même année de leur entrée en Algérie, c’est-à-dire, 2018 année d’entrée du véhicule, ce dernier doit être fabriquée en 2018, et non en 2017».
Le même responsable explique que, cette nouvelle mesure est intervenue après qu’il est constaté qu’il y a de la triche sur les compteurs de véhicules anciens pour les faire entrer en Algérie comme étant des véhicules neufs, mais, en réalité se sont des voitures âgées de 2 à 3 ans.