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Groupe public mécanique : un chiffre d’affaire de 50 Mrds de Dinars en 2017

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Le groupe public mécanique (GPM) a réalisé un chiffre d’affaire avoisinant les 50 milliards de dinars au cours de l’année précédentes a indiqué son PDG Bachir Dehimi. Ce chiffre dépassera les 60 milliards à la fin de l’année en cours, sachant que les ambitions du groupement sont d’atteindre les 100 milliards de Chiffes d’affaire.

Crée en 2015, le groupement mécanique qui est constitué de trente sociétés, a tracé «un programme d’investissement de 42 milliards de dinars, « réalisé jusqu’à présent à hauteur de 80% » a indiqué son Dg aujourd’hui lors de son passage à la radio nationale, chaine 1.  Selon, M Dehimi, le groupement envisage aussi de se lancer dans des nouvelles filières telles que l’énergie et les ressources en eaux.

Le groupe qui possédé une expérience dans l’industrie mécanique, notamment ce qui concerne, les machines agricoles, a tracé une stratégie de sous-traitance afin maitriser ses couts de productions. « La sous-traitance est le moteur principal du groupe » a souligné M Dehimi et «nous avons 30 entreprises, et chacune à ses sous-traitants, est compris les partenariats » a encore expliqué l’invité de la radio. Parmi, ces 30, « nous avons quatre, spécialisées pour la sous-traitance à l’instar de celle des pièces des machines agricoles PMO».  Dans ce sens, il a cité le projet de partenariat qui est en cours de réalisation avec la partie turque, qui vise à réaliser une visserie à Oud Rhiou, avec une capacité de production qui répond aux besoins de production de l’équivalent de 400 000 véhicules. « Ce qui est largement suffisant pour répondre à la demande du marché en sous-traitance pour les projets de montage des véhicules » a-t-il précisé.  

Selon, Dehimi, l’intégration dans le groupe est très importante, « elle atteint des pourcentages de 25 à 80 %, à l’instar des moissonneuse batteuse à 70%, et l’intégration continue d’augmenter pour les autres machines ». Selon lui, cette intégration permet de créer une valeur ajoutée, et surtout baisser les prix des produits et ceux d’importation. Selon lui, l’augmentation de l’intégration est primordiale pour garantir une exportation.

Par ailleurs, il a justifié ce taux important par l’ancienneté du groupement notamment en matière d’industrie agricole. Dans ce sens, il a appelé à donner du temps pour les nouveaux investisseurs dans le montage afin qu’ils adaptent à leur nouveau métier et aussi affronter le marché, des objectifs qui passe par  un professionnalisme qui doit être acquis surtout du partenaire et le respect strict de cahier de charge qui est un « outil qui s’adresse au professionnels ». De ce fit, il a demandé de « laisser les investisseurs travailler et leurs demandé des comptes qu’à partir de cinq ans et plus », sachant qu’ils « ont bénéficié de plusieurs avantages de la part des autorités ». Toutefois, l’invité de la radio, a conseillé les producteurs dans le secteur automobile de travailler avec des partenaires d’une renommée mondiale, et de respecter les standards internationaux, afin de pouvoir commercialiser facilement sur le marché mondial et être compétitif.

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