«Une tripartite spécialement dédié aux problèmes d’employabilité des universitaires sera organisé bientôt, d’autant plus, nous savons que les directeurs d’entreprises reçoivent les universitaires, mais ne leurs donnent leurs chance » a déclaré le secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Said, hier , à la rencontre organisé par le ministre du travail à l’école supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger, sous le thème, « l’université et le monde du travail ».
Précisant qu’« il y’a une grande barrière entre l’employabilité des universitaires, et leurs capacité à obtenir un poste de travail. Nous allons sortir de cette tripartite avec des solutions radicales, car obtenir un poste de travail n’est plus qu’un simple souhait, c’est devenu une nécessité vital par la conjoncture actuelle ».
De son côté le ministre du Travail de l’emploi et de la sécurité sociale, Mourad Zemali, a tenu à préciser que « plusieurs mécanismes de recrutement seront mis en place pour permettre aux diplômés de trouver leurs place dans le monde du travail ». Soulignant que « le taux de chômage chez les universitaires a reculé de 21,4% en 2010 à 17,6% en 2017 ».
Pur a part la présidente de la confédération générale des entreprises algériennes, Saida Neghza , a précisé que « les métiers traditionnels, ont disparus devant la vague des nouvelles technologies,. En plus du fait , que la formation universitaires ne réponds plus aux exigences du marché du travail ».
Et d’ajouter « la CGEA, compte concrétiser des conventions avec les universités pour développer les capacités d’employabilité des universitaires, en concordance avec les besoins du marché du travail, en matière de main d’œuvre qualifiée. Et ce, à travers tout le territoire, nationale, avec des sessions de formation à l’étranger pour les majors de promos. »