Dans son classement 2017 portant sur l’indice de développement des Technologies de l’Information et de la Communication (ICT Development Index). L’Union Internationale des Télécommunications, une agence spécialisée des Nations Unies, classe l’Algérie à la 102ème place sur 176 pays étudiés.
Toutefois, selon le même rapport, l’Algérie a amélioré son score pour cette année 2017, en obtenant une note de 4.67, et gagne quatre places par rapport au classement de 2016 lorsque son indice était de 4.32 et la plaçait 106ème. Et également, un progrès non négligeable, a été constaté selon les réalisateurs du classement, notamment, en ce qui concerne le nombre d’abonnements mobiles, mais aussi le nombre d’utilisateurs d’internet.
Sur le plan continental, l’Algérie arrive à la septième (07) position, non loin du Maroc sixième et (100ème mondial) avec un indice de 4.77, la Tunisie cinquième (99ème) une note de 4.82. La tête du classement des pays africains est occupée par l’Île Maurice avec un indice de 5.88 (72ème), suivi en deuxième position par les Seychelles avec une note de 5.03 (90ème), en troisième position arrive l’Afrique du Sud avec 4.96 (92ème) et au quatrième rang continental, le Cap Vert avec un indice de 4.92 (93ème).
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Au niveau mondial, l’Islande arrive en tête du classement avec un score de 8.98 et gagne 02 places cette année par rapport à 2016. En deuxième position, la Corée du Sud avec un indice de 8.80, et la Suisse occupe le troisième rang avec une note de 8. Par ailleurs, le Tchad (174ème), la République centrafricaine (175ème) et l’Erythrée (176ème) clôturent le classement.
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Pour établir ce classement annuel, l’indice de développement des TIC s’est base sur onze critères répartis en trois axes : l’accès aux TIC, avec notamment le nombre d’abonnement au téléphone fixe ou mobile pour 100 habitants ou encore la bande passante Internet internationale (bits/s) par utilisateur d’Internet. L’utilisation des TIC, avec par exemple le pourcentage de personnes utilisant Internet ou le taux d’abonnements fixes ou mobiles à large bande pour 100 habitants. Et enfin, les compétences en TIC, notamment le taux d’alphabétisation des adultes ou encore le taux de scolarisation supérieure.
