Sonatrach augmentera sa production de 14%
La compagnie nationale des hydrocarbures a choisi de se tourner l’exploration en offshore, écrit l’Econews. Selon le directeur de la division association, Farid Djettou, ce choix est motivé par le grand potentiel que peut résorber les réserves off short algérien.
Dans une interview accordé au site d’actualités économiques, l’intéressé affirme que la stratégie de Sonatrach est basée sur la poursuite de forage d’une manière ascendante. Dans ce sens nous avons choisi de faire deux types de sismique en deux 2D et en 3D, ajoute-t-il. Pour le premier nous avons réalisé 10 000 Km et le second 23 000 Km. Nos puits de forages se situent autour des anciens champs dans un souci de synergie entre les projets et diminuer le budget de développement. Toutefois nous continuons à explorer dans les zones frontalières mais pour une exploitation ultérieure. Mais pour l’instant on se base sur les forages à côté des installations existantes, explique Farid Djettou à l’Econews, avant d’ajouter que pour la production de pétrole brut, il est prévu d’augmenter la production de 14% en 2019 par rapport à celle de 2016 et atteindre les 10 millions de TEP l’année prochaine et cela grâce aux contrats de partenariat qu’a signés Sonatrach
La spéculation continue de provoquer une hausse des fruits et légumes
Il n’y a plus aucun doute, la flambée des prix des fruits et légumes est due à la…spéculation, écrit ce matin l’Expression. En effet, lors de la visite qu’a effectuée le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans la wilaya d’El Oued, qui est devenue le grenier agricole du pays, on a pu s’enquérir de la réalité des prix de ces produits vitaux, c’est-à-dire ce qu’ils devraient coûter chez nos marchands habituels, poursuit le quotidien. On a bien sûr commencé par la star du moment, dont certains ironisent en le qualifiant du nouveau inconditionnel des trousseaux de mariage…Vous l’avez bien reconnu: il s’agit du «cher» ail! Alors qu’à Alger la botte d’ail se vend à 1800 DA à El Oued elle ne dépasse pas les 200 dinars.
«Elle ne dépassait pas les 100 dinars en début d’année», témoigne un père de famille à l’Expression. La tomate qui est l’autre produit agricole qui connaît une «crise» au nord du pays, ne coûte que 70 dinars le kg alors qu’à Alger et ses environs, elle a été cédée en certains endroits jusqu’à 180 dinars le kg. Idem pour le produit qui constitue la base même de la table de la famille algérienne, à savoir la pomme de terre.
Assurances : signature de trois conventions entre la CNMA et la BNA
La Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) et la Banque nationale d’Algérie (BNA) ont procédé à la signature de trois conventions de partenariat, hier, au siège de la direction générale de la BNA, nous apprend le Soir d’Algérie.
Dans cette perspective, les trois conventions permettront selon le journal, la domiciliation des comptes de la CNMA et de son réseau commercial qu’est le réseau des Caisses régionales de mutualité agricole (CRMA), auprès de ladite banque, ce qui mènera à l’adhésion de la CNMA et des CRMA au système d’acceptation de paiement en ligne par carte interbancaire CIB.
Aussi, la BNA dotera les caisses régionales de mutualité agricole de terminaux de paiement électronique (TPE), ce qui facilitera l’accès aux services bancaires de la BNA, mis au profit des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et autres, ainsi que les personnels CNMA et CRMA.
Selon le directeur général de la BNA, Achour Abboud, «la banque mettra son système modernisé, afin de faciliter les différentes transactions financières aux clients de la CNMA, du domaine agricole, ce qui leur épargnera le temps passé à se rendre à la banque ou encore d’attendre à ce que la transaction soit faite. Ils ne consacreront désormais que le temps d’un clic sur le net, puisque notre système a été modernisé et pourront procéder aux paiements 24 heures sur 24», écrit le Soir d’Algérie.
Près 38 milliards de dinars de déchets ménagers récupérés
Pas moins de 38 milliards de dinars de déchets ménagers d’emballage ont été récupérés, a indiqué, hier, le directeur général de l’Agence nationale des déchets (AND), Karim Ouamane, reprit ce matin par la Tribune. Lors de son intervention au forum d’El Moudjahid, il a fait savoir que 150 tonnes ont été récupérés des administrations grâce à l’opération de tri des déchets, précisant que chaque employé consomme l’équivalent de 2 800 dinars de papier par an. «L’algérien produit 310 kg de déchets par an», ajoutera le DG de l’AND, qui expliquera qu’il s’agit, désormais, d’aborder la gestion des déchets avec une nouvelle stratégie. «Aujourd’hui on doit aborder les déchets selon leur origine, qualité et la responsabilité. Selon la Tribune, la gestion intégrée est une chaîne composée de maillons à plusieurs phases. Entre 2010 et 2014, nous avons constaté une augmentation s’agissant des déchets en plastique», dira-t-il. Concernant les missions de l’Agence nationale des déchets, l’intervenant a rappelé qu’elle doit fournir de l’assistance aux collectivités locales, exécuter et gérer un système national de récupération et traitement des déchets. Elle doit également contribuer à la réalisation d’études, recherches et projets de démonstration.