Aucun sac de ciment ne sera importé en 2017
Avec l’entrée en production de la cimenterie d’Adrar au premier trimestre 2017, la production nationale couvrira la totalité des besoins du marché local du ciment estimés en 2015 — où l’Algérie a importé 6 millions de tonnes pour près de 480 millions de dollars — à 24 millions de tonnes, écrit le Soir d’Algérie ce matin.
L’entrée en production de la cimenterie de Biskra (Cilas) en juillet dernier a porté les capacités de Lafarge, qui disposait de deux cimenteries en activité d’une capacité totale de 8,6 millions de tonnes/an (M’sila et Oggaz), à 11,3 millions de tonnes/an. Quant au groupe public Gica, il dispose de capacités de l’ordre de 11,5 millions de tonnes/an et compte les augmenter pour atteindre bientôt 18,5 millions de tonnes/an, précise le journal qui indique qu’avec l’entrée en production de la cimenterie d’Adrar au premier trimestre 2017, la production nationale couvrira la totalité des besoins du marché local du ciment estimés en 2015 — où l’Algérie a importé 6 millions de tonnes pour près de 480 millions de dollars — à 24 millions de tonnes.
Qui paiera les dettes d’ArcelorMittal ?
Selon un document confidentiel dont El Watan détient une copie, une dette de 8 milliards de dinars, représentant des arriérés de fournisseurs du complexe sidérurgique d’El Hadjar ayant trait aux services, au stock et à l’investissement, attend désormais d’être honorée.
Le dossier d’ArcelorMittal Algérie, Sider El Hadjar en 2016, ne semble pas encore livrer tous ses secrets. En août 2016, ArcelorMittal a cédé à Imétal, au dinar symbolique, la totalité de ses parts sociales détenues à 49% par ArcelorMittal Algérie (AMA), 49% de ArcelorMittal Pipes and Tubes Algeria (Ampta) et 70% à ArcelorMittal Tébessa (AMT), écrit El Watan qui rappelle qu’avant de quitter définitivement l’Algérie, la filiale algérienne du groupe indien a laissé derrière elle une dette de plus de 8,28 milliards de dinars. Datant d’avant 2016, cette importante «ardoise» représente 35% du passif courant du complexe sidérurgique d’El Hadjar.
Pour un coût de 6 milliard de dinars : Le Turc Tosyali impliqué dans la construction du quai minéralier de Bethioua
Pour un coût de 6 milliard de dinars : Le Turc Tosyali impliqué dans la construction du quai minéralier de BethiouaLe ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, a effectué en début de semaine une visite dans les différents sites industriels à Oran dont le site de Bethioua et de Sidi Khettab dans la wilaya de Relizane, c’est Reporters qui donne l’info ce matin en précisant que c’est l’un des projets phares inspectés par le ministre de l’Industrie et des Mines, lors de sa visite dans l’Oranie, et qu’il a été le chantier de réalisation du nouveau quai d’Arzew, plus exactement à Bethioua. Ce projet est initié par l’Entreprise portuaire d’Arzew (EPA) et la société turque de sidérurgie Tosyali. A cet effet poursuit Reporters, une entreprise mixte, la SPA Bethioua Port minéralier, a été créée pour la gestion du port. 51% du capital est détenu par l’Entreprise portuaire d’Oran et 49% par Tosyali. Cette entité algéro-turque a été dotée d’un capital social de 2 milliards de dinars. Le coût du projet de réalisation du quai est, quant à lui, estimé à 6 milliards DA, soit environ 60 millions de dollars.
L’héritier de Samsung attend une décision sur son arrestation
La justice sud-coréenne a commencé à délibérer mercredi afin de savoir s’il faut arrêter ou non officiellement l’héritier de l’empire Samsung pour des soupçons de corruption, dans un vaste scandale à tiroirs qui a valu à la présidente d’être destituée, écrit ce matin Boursorama.
Lee Jae-Yong, 48 ans, ne s’est pas exprimé en quittant le tribunal du district central de Séoul à l’issue d’une audience de quatre heures, selon les images des télévision.
Selon le site d’actualités économiques, l’arrestation éventuelle du patron de facto du premier conglomérat du pays, qui pèse 20% du Produit intérieur brut, soulève la question de ses répercussions plus générales alors que la banque centrale sud-coréenne a révisé à la baisse sa prévision de croissance en raison d’un climat incertain.
Samsung est le premier fabricant mondial de smartphones et le premier exportateur de Corée du Sud.