L’Algérie fait un bond de 9 places dans le classement des pays ayant le plus avancé dans le domaine des TIC
Invité à prendre part à la 2e édition du concours national de l’innovation et des TIC, qui s’est déroulé lundi soir au palais de la Culture Moufdi-Zakaria, le secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (UIT), M. Houlin Zhao, a souligné, dans son intervention, que selon le dernier rapport de l’UIT, «l’Algérie est le pays le plus dynamique dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC), particulièrement dans le monde arabe». C’est El Moudjahid qui donne l’information ce matin.
L’Algérie a été classée, l’année dernière, à la 112 places, et en 2016, ce pays a avancé à la 103e place sur les 170 pays concernés par le classement ; c’est un exploit formidable, lorsqu’on sait que ce résultat n’est pas facile à atteindre puisque chaque pays essaye d’améliorer sa position», a affirmé le SG de l’UIT. Néanmoins, poursuit le journal, il n’est pas question de dormir sur ses lauriers, puisqu’il reste beaucoup de choses à faire pour enregistrer d’autres avancées dans le domaine des TIC, en ajoutant qu’il compte également sur l’Algérie «pour l’amélioration des TIC dans le monde».
Vers la réhabilitation du haut fourneau d’El Hadjar
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, sera l’hôte, cette fin de semaine, du complexe Sider El Hadjar, situé à une dizaine de kilomètres de Annaba, selon des sources proches du complexe, écrit le Soir d’Algérie qui croit savoir qu’il sera question de superviser des essais techniques au niveau du haut-fourneau n°2, principale unité de la zone chaude sans laquelle il n’y aurait aucune coulée d’acier. Le soir rappelle que les délais impartis à la reprise de la production au complexe Sider El Hadjar se sont succédé sans pour autant voir le moindre lingot d’acier sortir de celui qui fut le symbole de l’industrialisation du pays. Après sa récupération par l’Etat en octobre 2015 et le départ du partenaire indien ArcelorMittal, laissant le complexe à genoux, il était prévu de le refaire redémarrer avec l’ensemble des installations rénovées en mars 2016.
Nigeria : une « dette cachée » de 7 milliards de dollars découverte dans les comptes publics
Deux mille deux cent milliards de nairas. C’est le montant des créances « cachées » dans les comptes publics que l’administration du président Muhammadu Buhari a découvertes et dévoilées en fin de semaine dernière dans la presse nationale et sur les réseaux sociaux, écrit Jeune Afrique dans sa dernière édition.
Selon le gouvernement nigérian, ces créances dues à des prestataires de services de l’État et au secteur privé ont été accumulées sous la précédente administration, menée par l’ex-président Goodluck Jonathan entre 2010 et 2015. Leur découverte poursuit le magazine, aurait été réalisée, selon Abuja, dans le cadre de la mise à jour des pratiques comptables de l’administration publique, entreprise par le gouvernement afin de les mettre en conformité avec les Normes comptables internationales du secteur public (IPSAS).
Le pétrole au-dessus de la barre des 55 dollars
Vers 03h00 GMT, le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en février, reculait de cinq cents, à 55,64 dollars, tandis que le baril de light sweet crude (WTIWTI Le West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, cédait 17 cents à 52,66 dollars dans les échanges électroniques en Asie d’hier écrit l’Econews.
Le pétrole avait fini en nette hausse après l’accord de baisse de la production entre l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), déjà assujettie à un pacte de ce type, et d’autres pays. Mais, des analystes estiment que l’enthousiasme est retombé après le rebond initial avec les informations sur l’augmentation du nombre de plateformes pétrolières aux Etats-Unis et la prise de conscience du fait qu’un accord est une chose, mais son application en est une autre, poursuit le site web spécialisé qui ajoute que selon les analystes, les investisseurs vont avoir besoin de bonnes nouvelles en continu pour maintenir le rebond du brut à ces niveaux.
