Empreint obligataire : 568 milliards de dinars collectés
Selon l’Expression, le ministre des Finances, Hadji Baba Ammi, a dévoilé, hier, le montant collecté de l’opération de l’emprunt obligataire pour la croissance économique qui est arrivé à terme le 17 octobre dernier avec un chiffre de 568 milliards de DA. Au lancement de cette opération le gouvernement avait fixé un seuil de 400 milliards de DA comme objectif à atteindre, l’engagement des citoyens et la participation des bailleurs de fonds à cette opération ont permis la collecte de sommes importantes dépassant de loin les prévisions du gouvernement, ajoute le journal qui estime que ce dernier s’est dit très satisfait du résultat de cette opération qui offre au gouvernement une bouée de sauvetage. «Nous avons mobilisé 568 milliards de DA, un montant très important et je suis très satisfait des résultats de cette opération», a-t-il souligné en marge de la réunion gouvernement-walis.
GEW2016, agriculture et nouvelles technologies au menu
L’Algérie au même titre que 165 pays du monde, célébrera à partir de demain, et jusqu’au 20 novembre 2016, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, écrit El Moudjahid ce matin.
Pour cette édition, la célébration Global Entrepreneurship Week Algeria 2016 (GEW), il sera question de mettre en avant les entrepreneurs algériens et d’inspirer la nouvelle génération de créateurs d’entreprises dont l’ambition de concrétiser leurs idées et les appliquer sur le terrain.
Aujourd’hui, poursuit le quotidien, l’Algérie est considérée parmi les leaders de ce mouvement mondial, grâce aux efforts des 535 organisations partenaires qui ont organisé des milliers d’activités tout au long de l’exercice annuel. Pour la seconde année consécutive, notre pays a reçu le trophée «Compass Award for Champion Catalyzers events» qui prime le pays qui a organisé le plus d événements au niveau national. La rencontre économique sera placée selon El Moudjahid sous le thème «Agriculture et nouvelles technologies, Productivité, compétitivité et Entrepreneuriat».
Maroc : l’importance de la COP 22
Ils sont jeunes, rompus aux négociations internationales et veulent remettre un continent vulnérable au centre de l’action mondiale en faveur du climat. Jeune Afrique nous dresse les portraits de tous çeux qu’on considèrent comme incontournables à la COP 22 de Marrakech.
Premiers victimes du réchauffement climatiques, les Africains comptent agir en force pour obtenir des financements qui leur permettront de s’adapter et d’orienter leur développement vers des modèles durables, écrit le magazine panafricain qui considère que la machine diplomatique est déjà en marche à la COP 22, ouverte le 7 novembre et qui se prolonge jusqu’au 18 à Marrakech.
Pas de crédits pour le moment !
Selon le Soir d’Algérie, Il semblerait que l’on se dirige vers un «gel discret» du crédit à la consommation par les banques. Les dirigeants de certaines banques publiques, qui comptaient lancer des crédits pour l’acquisition de véhicules montés en Algérie, affirment selon le journal, avoir reçu des messages d’«en haut» en vue de surseoir à cette opération. Les crédits à la consommation en Algérie ne sont en effet autorisés que pour les produits fabriqués localement.
Brexit : le Luxembourg se pose en solution de repli simple et bon marché
Dans la course à l’attractivité qui se joue entre autres, entre Paris, Berlin, Francfort et Dublin, sur fond de Brexit, il faudra aussi compter avec l’un des plus petits pays de l’Union européenne : le Luxembourg, peut-on lire dans la Tribune. D’après le journal économique français, le Grand-Duché se défend de démarcher agressivement les banques, britanniques ou étrangères implantées à Londres, qui redouteraient de ne plus pouvoir commercialiser leurs produits et services en Europe (selon le dispositif du « passeporting »), après la sortie du Royaume-Uni de l’UE. Il y a déjà plus de 140 banques implantées sur place, pour l’essentiel internationales. Et plus de 3.800 fonds d’investissement, représentant 3.600 milliards d’euros d’actifs sous gestion : le Luxembourg est le deuxième centre mondial de fonds d’investissement après les États-Unis, rappelle le journal.