Bourse : les gagnants et les perdants de la victoire de Trump
Même si les sondages étaient serrés, l’élection du républicain Donald Trump en a surpris plus d’un, écrit ce matin les Echos. D’où une réaction immédiate sur les marchés financiers. Ces derniers ont accusé le coup notamment en Asie où la Bourse de Tokyo a terminé en baisse de plus de 5%. Certains investisseurs voient cependant d’un bon oeil la victoire de Trump. Revue de détail. Selon le journal économique français, en Russie, l’indice Micex progresse de 1,5 % à la mi-séance à rebours de la plupart des bourses européennes. Lors de la campagne, Trump avait laissé entendre qu’il était prêt à revoir les relations entre les deux pays. Ce qui pourrait à terme signifier une levée des sanctions internationales depuis l’annexion de la Crimée. La victoire de Trump, candidat du charbon, a soufflé un vent de vent panique sur les énergies renouvelables, poursuit les Echos qui nous apprend que le titre du leader mondial des éoliennes Vestas a plongé de 13,82 %. A l’inverse, Glencore, l’un des principaux négociants de charbon au monde prend plus de 4 %.
Rencontre Sellal-Walis : l’investissement en ligne de mire
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, prononceront des allocutions à l’ouverture de cette rencontre, nous apprend la presse ce matin notamment Horizons et El Moudjahid. Plusieurs interventions de membres du gouvernement sur divers sujets liés à leurs secteurs respectifs sont inscrites durant la matinée du samedi. Il s’agit notamment de l’intervention du ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune, sur le thème : « les instruments d’urbanisme, outil de planification stratégique au service du développement local ». Selon le doyen de la presse, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chelghoum, et la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Imane-Houda Faraoun, interviendront, quant à eux, respectivement sur l’investissement agricole et l’administration électronique.
L’Algérie célèbre la semaine mondiale de l’entrepreneuriat
A l’instar de 165 autres pays, l’Algérie célèbre du 14 au 20 novembre 2016, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat. Comme chaque année depuis cinq ans, elle sera l’occasion idéale pour célébrer les entrepreneurs et inspirer la nouvelle génération de créateurs d’entreprises, écrit le Soir d’Algérie ce matin. Le quotidien nous rappelle que l’Algérie compte maintenant parmi les leaders de ce mouvement mondial, grâce aux efforts des 535 organisations partenaires qui ont organisé des milliers d’activités, et que pour la seconde année consécutive, notre pays a reçu le trophée «Compass Award for Champion Catalyzers events» qui prime le pays qui a organisé le plus d’événements au niveau national. Cette année, poursuit le journal, conformément aux orientations du gouvernement relatives à l’importance du développement de la productivité et la compétitivité du secteur agricole, et la nécessité de booster les exportations de ses produits, cette semaine de l’entrepreunariat est placée sous le thème : agriculture et nouvelles technologies productivité, compétitivité et entrepreneuriat.
COP22 : le casse-tête du budget planète
Cent milliards de dollars (environ 90 milliards d’euros) par an à partir de 2020. C’est l’engagement financier des pays développés, acté par l’accord de Paris, en faveur des pays en développement, pour les aider à supporter le coût des changements climatiques, écrit Jeune Afrique dans son dernier numéro. Si stratosphérique soit-il, le chiffre n’est pas nouveau. Il avait été évoqué lors du sommet de Copenhague, en 2009, avant d’être confirmé à Cancún, en 2010. Mais, depuis, cette cagnotte n’a jamais pu être mobilisée, ajoute le magazine. « Aujourd’hui, nous sommes plus près que jamais de trouver un accord pour la mise en place d’un mécanisme assurant des contributions durables de la part des pays industrialisés », explique Hakima El Haite, ministre déléguée marocain chargée de l’Environnement. « À présent, les pays développés doivent sortir leur chéquier, certes, mais surtout dire comment ils vont le sortir. C’est-à-dire expliquer aux pays les plus vulnérables ce qu’ils vont financer », confirme Aziz Mekouar, ambassadeur pour les négociations multilatérales.
