Jeune Afrique publie son classement des 200 premières banques africaines
Malgré la domination des banques sud-africaines sur la scène financière du continent, les concurrentes venues du Caire, de Casa et même de Lomé ou Dakar ont continué en 2015 leur ascension, écrit Jeune Afrique. Dans le classement exclusif des 200 premières banques africaines, publié dans le hors-série Spécial Finance de Jeune Afrique, le marocain BMCE Bank gagne ainsi trois rangs, passant du 14ème au 11ème rang. Mais les grandes gagnantes de cette18ème édition sont les banques égyptiennes, qui classent 25 banques (pour 16,1% des actifs bancaires cumulés), quasiment toutes en ascension : les deux mastodontes locaux, National Bank of Egypt et Banque Misr, grappillent respectivement un et deux rangs pour se hisser aux 5ème et 7ème rangs africains, écrit le magazine panafricain édité à Paris.
Écoles, hôpitaux et ports : la grève suivie de 60 à 85%
C’est fort de son potentiel humain, que le secteur de l’éducation aura le plus impacté cette grève, comme en témoigne Liberté ce matin qui décrit d’abord la grève dans le secteur de l’éducation. À Chéraga et à El-Madania, où se sont déplacés les journalistes de Liberté, nombre d’établissements ont connu des perturbations dues à cette grève. Les parents, qui ont accompagné leurs enfants à l’école sitôt la nouvelle connue, ont vite récupéré leurs enfants, écrit le journal qui précise que le secteur de la santé n’a pas été en reste, puisque médecins, dentistes, pharmaciens, psychologues et vétérinaires ont également observé ce mouvement dans les hôpitaux et centres de santé. Le journal rappelle que de son côté, le gouvernement a opposé un silence de rigueur face à la protesta des syndicats autonomes, poussant ces derniers à adopter une démarche d’escalade, puisqu’en sus de cette grève de deux jours renouvelable les 24 et 25 octobre, d’autres actions sont envisagées ultérieurement.
Le pétrole en baisse sous l’effet de déclarations iraniennes et de la hausse des forages aux Etats-Unis
Les cours du pétrole ont baissé lundi. Les traders tablant sur un rebond de l’offre aux Etats-Unis et prenant acte de la volonté de l’Iran de poursuivre la reprise de sa production, écrit Maghreb Emergent.
Très sensible à ce genre de propos, les marchés regardent ainsi avec un scepticisme accru la possibilité d’une concrétisation de l’accord sur la baisse de la production annoncé à Alger, précise le site d’actualités économiques qui rappelle que le message de l’Iran qui a été exempté avec le Nigeria et la Libye de participer au gel de la production décidé par l’OPEP est « bien passé » dans les marchés. Il s’ajoute aussi aux déclarations de responsables du Nigeria, autre pays exempté, prévoyant une accélération de la production après la réparation d’infrastructures en fin d’année.
Élections américaines : pourquoi Wall Street penche plutôt pour Clinton
Les élections présidentielles américaines ne constituent en général pas un enjeu majeur pour les marchés financiers outre-Atlantique. Il est en effet souvent difficile d’identifier l’impact exact de l’élection sur la Bourse. Car le cycle économique ou boursier a toujours plus d’influence, peut-on lire dans Boursorama aujourd’hui.
D’après le site d’actualités économiques français, dans près des deux tiers des cas, les actions américaines, évaluées par l’indice S&P 500, s’affichent en hausse trois mois après la présidentielle. On constate aussi dans la durée que les meilleures performances boursières ont été plutôt associées avec une administration démocrate et un Congrès républicain, ajoute Boursorama qui rappelle au passage que très atypique, le candidat républicain, Donald Trump, n’est pas conventionnel comparé à ses prédécesseurs des duels, plus classiques, qui ont eu lieu